Je marche tranquillement sur le terrain de Poudlard. La guerre fait rage, mais Poudlard est encore sécuritaire. Je n’ai pas vraiment la tête au études en ce moment et donc, me voilà a essayer de me ressourcer. Le lac semble calme et pourtant, je me sens complètement opposé à l’intérieur. Je n’ai jamais eu de faciliter à cacher mes sentiments et je fais souvent des marches dans ce coin, sachant que personne ne risquait de croiser mon regard. Je déteste me montrer faible, alors que mes deux meilleurs amis sont si courageux. Je n’ai jamais réellement été doué dans un domaine important. J’étudie constamment. J’imagine que je suis entrain de faire l’expérience de ce qu’on appelle une dépression en temps de guerre. C’est pas réellement mon genre, mais voir les gens que j’aime mourir, c’est intolérable. Je ne porte pas attention à ce qui se passe autour de moi et donc je sursaute lorsque je sens un poids atterrir sur mon dos. Les cheveux blonds de la personne qui vient de me sauter dessus m’indique l’identité de la Serdaigle. Sofia a toujours eu un sixième sens. Elle sait lorsque les gens ne vont pas extrêmement bien. Je rigole légèrement et continue à marcher vers le grand arbre proche de l’eau. « Que penses-tu que t’es entrain de faire, Sofia ? » J’entend son rire cristallin et déjà, je me sens mieux. Parce que je sais qu’elle est heureuse. Après tout, elle vient de se fiancer avec Gabriel. Un événement heureux dans toute cette noirceur. « Je te saute dessus et … je te remonte le moral. » C’est un peu comme si elle lisait dans les pensées. Je me sens comme un gosse de cinq ans que sa mère doit réconforter. C’est d’ailleurs la caractéristique de la blonde. J’arrive finalement à destination et me laisse tomber sur le dos, manquant d’écraser la belle. Mon mal de vivre n’est pas contagieux ni sédentaire. Lorsque je partirai de nouveau en mission, j’aurai la foi que tout est possible. Je m’assois sur le sol, l’herbe taquinant mes mains. Elle vient me rejoindre et me fait un regard rassurant. « Tu me dis ce qui ne va pas, Nate ? » Je soupire. Je ne sais pas comment le dire. Après tout, la directrice de Durmstrang est sa mère. Je ne doute pas qu’elle déteste autant que moi la guerre qui se déroule, mais j’ai de la difficulté à l’admettre. Après tout, je ne suis peut-être pas le plus courageux, le plus intelligent ou le plus adroit, mais je suis de loin celui qui restera le plus fidèle. « Cette guerre me pèse. J’ai hâte que tout soit terminé, tu vois ? Que la paix soit de nouveau prédominante. Je sais que je semble utopique, mais … » Je m’interrompt, parce que je vois que la demoiselle frissonne. Est ce que c’est parce qu’elle a froid ? J’en doute. Toutefois, avant que je ne puisse pousser mon investigation plus loin, je vois deux têtes se diriger vers nous. Je sais parfaitement que ce sont mes meilleurs amis, probablement à la recherche de la dulcinée blonde du Gryffondor. Ils arrivent finalement à notre hauteur et Gabriel se place au côté de sa future femme et l’embrasse. Edward rigole doucement et me frappe légèrement le bras. Nous étions quatre inséparables. Les trois mousquetaires et la blondinette. La belle époque. Gabriel me regarde, taquin. « Si tu voulais me voler ma petite-amie, fallait être plus subtile Nate. » Je grogne et fais une sorte de grimace. Il me dit ça simplement parce qu’il sait que je considère Sofia comme ma propre sœur. C’est comme si on pratiquait l’inceste et franchement c’est pas mon truc. De plus, voler les petites amies des autres, c’est vraiment pas le genre de chose que je ferais. Elle est ma confidente, sans plus. J’ai toujours été l’ami fidèle et je n’aspire pas à plus ni a montrer un côté plus sombre de moi-même. On s’embarque dans une conversation sans queue ni tête, mais ça me plait bien. Sofia sait comment je me sens vis-à-vis de cette guerre et se fait un point d’honneur à me changer les idées. Je passe une main dans mes cheveux et je perds le fils de la conversation. Je recommence à penser à la guerre et je crois bien qu’Edward remarque que je ne suis plus. Je commence à jouer avec ma baguette, je la fais tournoyer entre mes doigts. Edward s’en saisit rapidement, malgré mes protestations. Petit con. « EDWARD ! » Sofia et Gabriel se retournent vers nous alors que je vais à la poursuite du Serdaigle. Je rigole, parce qu’habituellement, je suis toujours le premier à faire ce genre de connerie. J’arrive finalement à sa hauteur et sans le faire exprès –ou pas- je le pousse dans le lac tout en récupérant ma baguette. Je me marre doucement, mais le soulagement laisse place à l’étonnement lorsque Gabriel me pousse à son tour, nous entrainant tout les deux à la suite du Serdaigle. Lorsque ma tête sort de l’eau, je remarque à quel point nous avons l’air scandaleusement con. Les rires fusent de partout et je sais que nous risquons d’être punis, mais au fond … on s’en fout.

Les battements de mon cœur se font plus rapide. Ce son violent est le seul que je sais entendre en ce moment. Le battement constant est présent en mes tempes, assourdissant tout les bruits ambiants. Le plus beau jours dans la vie de mes meilleurs amis venait de se tourner en véritable cauchemar. Cette guerre allait finir par tous nous détruire. Aucune exception ne serait faite du camp des bons ou des mauvais. Les nombreuses missions que j'avais réalisé avec Edward et Gabriel m'en avait apporté la preuve. La fin de cet affrontement ne semblait pas prendre fin et pourtant, tous la voulait. D'une manière ou d'une autre. Dumstrang avait décidé d’attaquer au mauvais moment. Le pire qu’il pouvait être et le seul réflexe que j’avais en ce moment, c’était de protéger les gens que j’aimais. Gabriel et Sofia ne méritaient pas un tel affront. Lorsque les premiers soldats avaient pénétrés les lieux, ma baguette était déjà à l’affût. Je ne laisserais pas tout cela m’avoir. Les sors étaient projetés d'un bout à l'autre. Des faisceaux verts et rouges s’affrontaient de toute part. J’essayais de repérer mes amis, la mariée, mais ils n’étaient pas dans mon champs de vision. Natalia fit son apparition devant moi. « Expelliarmus ! » et le combat fut engagé. Je ne comptais pas laisser cette fille tuer les gens que j’aimaient et en conséquence, j’offris un combat digne de ce nom. Je n’avais jamais vraiment été doué dans ce genre d’exercices. J’ai toujours plus connu la théorie que le pratique. Edward et Gabriel étaient largement mieux dans ce domaine. Ils n’étaient cependant pas présents en ce moment. C’était moi contre elle. Le sens de l’honneur avait toujours été extrêmement important dans mes valeurs. J’évite rapidement un sors qu’elle me lance adroitement. Nous ne sommes clairement pas du même monde, elle et moi. Notre bagarre de sortilèges semble s’éterniser. Je ne sais pas si je pourrais encore tenir longtemps. Tout autour de moi n’est que Chaos. Comment cela pourrait-il être autrement ? Je croise finalement le regard de Gabriel, mais il se détourne rapidement, au prise lui-même avec un adversaire de taille. Je lance un sortilège, espérant désormais désarmer mon ennemie, mais non. Tout ce qui résonne dans ma tête, c’est « Avada Kedavra. » J’apperçois la lumière verte qui est présente pour mettre fin à mes jours. Je ne pensais pas que ça se finirait ainsi. Je m’écroule au sol, mais plus aucune pensées ne m’occupe. Mon regard, encore ouvert sur le monde était désormais complètement vide. Aucune vie ne résidait désormais en Nathaniel. Je ne faisais plus parti de ce monde et ce n’était pas plus mal, finalement.

« Vous ne comprenez pas, les mecs. Cordélia est la femme de ma vie, elle est canon, elle est … » Je ne suis pas un enfant de cœur, mais là, c’est trop. Je sais très bien qu’Anatasie fantasme sur Cordélia, mais ça fait depuis la première année que nous avons le droit au même numéro. Si ça ne me dérangeait pas autrefois, maintenant c’est beaucoup plus personnel. « parfaite, belle et blablabla. » Que je dis, la bouche complètement pleine de chocogrenouille. Cela rend ce que je dis complètement incompréhensible, mais puisque c’est un discours qu’il a souvent dit, il n’a pas de mal à le comprendre. Les trois mousquetaires enfin réunis après une longue matinée de cours. Nous sommes à l’extérieur, le temps nous le permettant encore un peu avant que le froid ne prenne trop de place. Je rencontre les yeux de Nolhan et je sais qu’il n’est pas très heureux. Sa sœur lui a probablement raconté l’anecdote où je l’ai ouvertement dragué. Sachant que Anatasie est follement amoureux d’elle. Je suis un enfoiré, mais c’est pas réellement de ma faute. Je veux également la blonde au couleurs argent et vert. Le Gryffondor me donne un sacré bon coup de coude et je m’étouffe doucement avec les chocogrenouilles. Il n’a pas le droit de me faire ce genre de chose, putain. « Auxy … » Je vois le regard un peu en colère qu’affiche le roux. Je lui avais promis de laisser sa sœur tranquille. Nous étions des meilleurs amis, mais j’étais avant tout un individu avec des besoins et mon intérêt s’était porté sur la blonde Dawkins-Buckley. La bagarre qu’a causé mon attitude avec la blonde n’était pas réellement d’une grande importance. Je veux dire, oui. C’est très important, puisque Nolhan est un de mes meilleurs amis. Toutefois, je sais que nous allons finir par régler ce différent. Cordy n’est pas la propriété d’Anatasie, à ce que je sache. Elle ne lui a jamais appartenu. Le fait que le Gryffondor et moi en somme venu au mains n’est déjà plus d’actualité, cependant. Nos rapports restent froids, mais ayant un meilleur ami commun, nous n’avions cesse de se côtoyer. Il avait peut-être du ressentiment contre moi et j’en suis sincèrement désolé. Je ne veux pas trahir mes amis, mais il y a toujours des trucs qui sont nécessaires dans la vie. « Ouais. Elle ne le sait pas encore, mais elle et moi, c’est la destinée. » Le Poufsouffle avait continué sa tirade à propos de sa future femme, comme il aime si bien l’appeler. Je jette un bonbon à Nolhan, parce qu’il semble en avoir besoin. Anatasie n’est pas stupide. Il sait pertinemment qu’un truc s’est passé entre le roux et moi. Toutefois, il choisissait plutôt de l’ignorer, se disant que tout allait redevenir normal bientôt. Je l’espérais aussi. La serpentarde ne devrait pas être une source d’ennuis. Je remarque qu’il n’y a aucun professeur dans les environs et je m’allume une clope, enregistrant ce que mon frère de cœur avait dit. « N’EST CE PAS, AUXENCE ? » Je sais ce que Nono essaie de faire. Ça ne me dérange pas, remarque. J’aimerais que ses paroles fassent effet, parce que je déteste cacher un truc à Annie. Je sais qu’il ne reste pas beaucoup de temps avant la reprise des cours, alors je pompe sur ma dose de nicotine, sous les grimaces de mes meilleurs amis. Je vois Anatasie qui bouffe encore des bonbons et il ouvre la bouche pour parler. Je me marre doucement. « Il a compris, Nono. Fields, tu pourrais pas arrêter de te chamailler avec ? Tu diminues mes chances, mec. » Je réfléchis sérieusement. Je ne dis jamais de réponses sans l’avoir réfléchis avant. Sauf peut-être lorsque je parle à des filles. J’aime ce mec comme mon frère et parfois, lorsque je réfléchis comme il le faut, je me surprend à me dégouter moi-même. Je ne devrais pas faire cela à mon meilleur ami. « Je vais essayer, mais je promet rien. Elle m’a quand même foutu un coup dans la gueule. » « et tu l’as pas mérité ? » La réplique avait fusé dès que ma phrase s’était terminée sur le bout de mes lèvres. Je lèves les yeux une dernière fois et on se redresse presque tous en même temps. C’est automatique, puisque c’est le moment de retourner en classe. Métamorphose dans mon cas et celui de Nolhan, mais Potion pour Anatasie. Ce dernier émet un dernier rire et nous salue avant de quitter vers les cachots. « C’est Auxence, nono. Il les mérites tout le temps. »

Je sors de classe et je suis le mec qui veut impérativement que je lui vende sa dose de nicotine. Ma réputation n’est pas la même que celle d’un dealer, mais c’est tout comme. Depuis mon arrivée à Poudlard, j’ai rapidement compris ce qui plaisait aux élèves. Ce n’est pas le genre de trucs qui intéressent Nolhan et Anatasie, mais je m’en tape clairement. Je passe ma main dans ma chevelure blonde et le Serpentard me donne dix gallions. Il en veut un paquet, donc. Sachant que je suis le seul qui fournit dans le secteur, c’est assez facile de charger énormément d’argent. Je n’ai pas besoin de l’argent de mes parents, je substitue totalement mon mode de vie. Je lui donne les clopes qu’il réclame et je me retourne. Il ne m’intéresse plus du tout. Je dois me rendre en potion, mais visiblement j’en ai rien à foutre et ça ne me tente clairement pas. Je grogne légèrement, mais j’y vais tout de même. Pourquoi ? Parce qu’ainsi, j’ai la paix. Je n’ai pas fait la recherche sur un quelconque ingrédient ? Right, j’en ai rien à foutre. Sans le savoir, j’étais extrêmement loin de Nathaniel. J’en avais que faire de mes études et pourtant avant, je n’avais de yeux que pour cela. Si je savais, ça me ferait probablement rire. Je marche tranquillement vers les cachots, mais je croise une blonde en chemin. Elle n’est pas n’importe laquelle. Cordélia est la fixation d’Anatasie. Elle est la serpentarde qu’il veut depuis la première année. Si pendant cinq ans je n’en avais que faire, maintenant ça me dérange. Je la veux également. Depuis qu’elle m’a foutu son poing au nez, elle est devenue un objectif. Pourquoi ne voulait-elle pas de moi ? Voilà une pensée insensée. Je n’avais aucunement l’habitude de me faire dire non. Elle se dirige dans la partie opposée du château. Elle sort probablement de sa salle commune. Je partage quelques cours avec la belle, mais Potion n’en est pas un. Je lui bloque le passage et elle relève un sourcil, légèrement agacée. Abandonne-toi et dit oui, Cordy. Ainsi, je lâcherai prise et tu en seras heureuse. « Tu me veux quoi, Fields ? » Surnom affectif. Il y a une connexion en quelque part. Que ça soit du désir que j’éprouve pour elle ou le fait qu’elle semble vouloir me tuer à chaque altercation qui nous anime. Pour être honnête, tout le monde m’appelle Fields. C’est moins long que d’ajouter Norlander et c’est plus anglais qu’Auxence. Je marche à reculons et je lui fais mon petit sourire d’emmerdeur. Je sais déjà ce qu’elle se dit. Comment son frère pouvait être ami avec un emmerdeur dans mon genre ? Notre différence fait notre force. Nolhan et Anatasie sont dans des maisons complètement opposées à la mienne. Le bleu et le bronze m’avantagent réellement, puisque j’ai l’air réellement canon en ces couleurs. J’ai toujours eu plus d’affinité avec les Serpentards, mais la vie en a décidé autrement : mes meilleurs amis font partis des Gryffondor et des Poufsouffles. « Une raison pour laquelle t’es pas intéressée. » Je veux savoir, je suis sincèrement intrigué. C’est un évènement singulier et je ne suis pas habitué au rejet. Un regard passe dans ses yeux, mais je n’y pense pas du tout. Je ne le comprends pas et puisque j’ai la flemme de l’analyser, ça règle le problème. Elle roule des yeux et essaie de continuer son trajet. Je continue à bloquer le chemin qu’elle veut emprunter et elle s’arrête, définitivement irritée. Si je ne peux pas l’avoir par intérêt, ce sera peut-être par dépit ? J’arrête ma marche inversée et pose ma main sur le mur. Mon sourire moqueur flottant encore quelque peu sur mes lèvres. « Je vais être en retard pour mon cours, Auxence. » Je jette un regard à l’heure et dépose mon regard bleu dans le siens. « Je crois qu’il te reste encore 4200 secondes pour me répondre, Cordy. Sors avec moi. » Je lui demande avec une voix assurée. J’ai toujours eu cette facilité à parler aux filles. C’est un truc inné chez moi. Elle s’impatiente devant moi et c’est assez apparent. J’aimerais bien savoir pourquoi elle n’en a rien à faire de ma gueule. Pourquoi elle repousse Anatasie et pourquoi j’arrive pas à conclure avec elle ? Ce n’est pas comme si elle partageait les sentiments de mon meilleur ami. Je fais pas ça pour l’emmerder. Je le jure, c’est juste que c’est Cordélia Dawkins-Buckley. Je serais fou de ne pas tenter ma chance. Elle n’a pas le temps de me répondre que j’essaie de trouver un truc logique à dire. « Est-ce que t’es lesbiennes ? Parce que je comprend totalement et puis … Les trucs avec deux femmes, ça me branche. » Probablement la remarque de trop. Elle ne me met pas son poing en pleine figure, mais c’est tout comme. La gifle que je reçoit est monumentale. Je vais avoir des marques, je le sens. Peut-être qu’un jour elle en aura marre, mais je ne suis pas prêt d’abandonner. « Je suis même partant pour la violence, j’aime essayer de nouveaux trucs. » Je l’entends proférer un mot tel que connard et elle me pousse violemment sur le mur. Elle commence à se tirer et moi, sur le point de dire une autre remarque encore plus flagrante. Elle se retourne et me dit haut et fort pour que ceux qui étaient alentour entendent parfaitement. « Tu voulais savoir pourquoi tu ne m’auras jamais dans ton lit, Auxence ? Je ne suis pas intéressée par les petits trucs. » en désignant mon pantalon. Aïe. Elle sait comment boucher quelqu’un. La seule chose que je fais en réponse, c’est bien sourire doucement. Ce qu’elle dit n’importe pas, les filles qui ont goûté à l’expérience savent. Je me retourne comptant finalement me rendre à mon cours de Potion. Je traine doucement jusqu’à la classe et une autre blonde m’intercepte. Teresa pose sa main sur mon bras et je me retourne. La populaire Gryffondor passe son autre main sur mon torse et je frissonne. La blonde semble aussi déterminée de m’avoir dans son lit que je le suis de mettre Cordélia dans le mien. « Je t’ai vu avec l’autre, là-bas. Je suis mieux, de beaucoup. » Je n’étais pas sans savoir que les deux filles se détestaient totalement. Je crois avoir déjà entendu Teresa souffler à un Poufsouffle que la Serpentarde avec une maladie … la Chlamydia ? Je suis certain que ce n’est pas le cas, puisque je sais pertinemment que la rouge et or sait dire n’importe quoi. Elle fait sa gentille fille, mais je sais que ce n’est pas le cas. Je suis dans toutes les fêtes organisées à Poudlard. Je connais le genre de fille qu’elle est. Pas que j’en ai quelque chose à foutre, mais tout de même. Elle pose ses lèvres à la base de mon cou et je souris. C’est quand même réconfortant après avoir essuyé un autre refus. Elle prend ma main avec l’intention de me tirer vers les toilettes. J’aimerais bien prendre mon pied avec toi, beauté. Je t’assure, mais j’ai classe, alors ça sera pour une autre fois. J’approche mes lèvres des siennes, mais ne les touches pas. Je frôle doucement sa lèvre et je la pousse doucement sur le mur juste à côté de la porte de la classe. Je suis déjà en retard et le professeur va décidément faire exprès pour NE PAS me mettre en valeur et me donner une heure de colle. J’embrasse Teresa dans le genre ouais, je vais m’abandonner à toi, mais non. Ce n’est pas du tout mon genre. Je fais céder les gens et pas le contraire. Elle pense finalement pouvoir m’embrasser, mais je me casse. Je lui fais un clin d’œil et entre dans la salle de cours. Ce sera pour la prochaine fois, Teresa.

- nathaniel
- la mort
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- les girls.