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BIENVENUE SUR AMORTENCIA Invité ! ҩ La deuxième intrigue va bientôt arriver! ҩ Veuillez privilégier les maisons POUFSOUFFLE et GRYFFONDOR!!! Si possible et si cela n'est pas nécessaire, évitez les maisons Serpentard et Serdaigle ainsi que le statut de "sang pur"
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 TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.

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G. Téonard Rosier
G. Téonard Rosier
GRYFFINDOR ҩ I think my spine exploded but i'm fine.

ϟ inscription : 03/09/2011
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MessageSujet: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyMar 11 Oct - 10:57

Ҩ gavin téonard rosier
i don't even wear pants. that's how charming i am.
TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. Tumblr_ls5j4ooAnY1qdcpc0o1_500

ϟ I LOVE THE WAY YOU ARE
Wesh, j'me présente, j'm'appelle téo et j'ai dix-neuf piges. Ouais, parce qu'en fait, j'suis né le trente juillet à côté de cardiff (IRL). Sinon, j'suis irlandais pur et dur. J'suis de famille sorcière-moldue. j'suis un mêlé.. En tant qu'sorcier, je possède bien sûr une baguette, "l'amour de ma vie", qui est constituée de houx avec une épine de rosier. Mon Patronus a une forme de raton-laveur (ça craint du boudin). Concernant ma vie amoureuse, je suis totalement en transe de champignons. Depuis mes quatorze ans, j'suis à Poudlard et maintenant j'suis déjà en sixième année. Je suis un gryffondor. C'est une fierté que de faire partie de leur rangs (ou pas).


ϟ SO WHAT I AM A ROCKSTAR !
nouvellement léger ϟ nouvellement joyeux ϟ nouvellement bavard ϟ nouvellement extraverti ϟ nouvellement sanguin ϟ nouvellement un peu méprisant ϟ nouvellement malicieux ϟ silencieux ϟ rusé ϟ maladivement curieux ϟ calme ϟ réfléchi ϟ incorrigible ϟ nerveux ϟ maniaque ϟ perfectionniste ϟ grand cœur ϟ chaleureux ϟ cœur d'artichaut ϟ sympathique ϟ sec ϟ sarcastique ϟ vite blessant ϟ égoïste ϟ narcissique ϟ pas du tout empathique ϟ solitaire ϟ s'épanouit quand accepté ϟ se sous-estime ϟ capricieux ϟ pas très attentionné ϟ distrait ϟ fainéant ϟ agréable ϟ vif ϟ productif ϟ secret.
ϟ RUNNING UP THAT HILL
Avez-vous des souvenirs de votre vie antérieure ? plein. tout le temps. j'ai l'impression de revivre parfois; non, je veux dire, ma vie antérieure a l'impression de revivre, parfois. j'ai l'impression qu'il est une entité destiné à retrouver l'amour. coûte que coûte.
Vous êtes plutôt du genre à accepter ces souvenirs ou plutôt à les chasser de votre esprit ? je suis plutôt du genre à les subir, si vous voyez ce que je veux dire...
Si vous devriez décrire votre relation avec votre famille en quelques mots ? rivalités ϟ héritage ϟ froideur ϟ complexe ϟ inimité ϟ attachement ϟ rivalités. encore.
Seriez-vous prêt à tout sacrifier par amour ? plutôt crever. enfin... vous avez compris.
Comment vous voyez-vous dans dix ans ? bien portant, fantastique, important, magnifique.


Ҩ PASSONS DU COTÉ MOLDU DE LA FORCE..

ϟ PSEUDO/PRENOM : electric stars./lola ϟ AGE : ouesh, j'ai quatorze ans xD. ϟ QUEL HIBOU T'A AMENÉ ICI ? : un hibou nommé talent & noxharya. ϟ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : il craint, c'est pour ça que je suis là TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 704512273 ϟ AVATAR : logan lerman. ϟ CODE DU RÈGLEMENT : whatchaa ϟ UN PETIT MOT POUR LA FIN ? : et ouais, nouvelle fiche à cause de plein d changements TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 704512273 han ouais TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 2124793060

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G. Téonard Rosier
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyMar 11 Oct - 10:57

Ҩ there's a fire inside my heart and a riot about to explode into flames.

TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. Guy10
J'avais toujours eu l'impression que ma vie me filait entre les doigts. Comme si j'essayais de refermer ma main autour d'un halo de fumée, réel mais insaisissable. J'avais abandonné, au final. A quoi bon se battre ? Que je fasse de la grande rébellion ou que je me garde à une petite mutinerie, le résultat était toujours le même : je perdais. Alors je la fermais; alors je me disais que mieux valait subir que guérir. N'était-ce pas un adage ? Enfin « mieux vaut prévenir que guérir »; ça veut dire la même chose. Comme j'étais une grosse victime, j'étais là, dans le salon de ce grand manoir qui serait mien dans quelques années. C'était un beau bâtiment, égaré en pleine campagne, datant de l'ère gothique moldue. Rien de bien exceptionnel, si vous voulez mon avis. Je devais puer la peur à des mètres. Il faisait lourd. Pas froid, juste lourd; l'air était humide, chargé de quelque chose que je n'arrivai pas à distinguer. Le noir complet. D'habitude, le salon était une place éclairée, un endroit où il faisait bon vivre et où on buvait tranquillement le thé en échangeant des ragots, assis à côté de l'âtre rougeoyant. Mais là, c'était la fin de l'été, le tout sous le joug d'un sortilège trop puissant. Il faisait si froid qu'à chaque coup de vent, je frissonnais, sentant la maison trembler avec moi. J'étais en vêtements de nuit, pieds nus, sur le carrelage gelé de cette pièce et j'attendais avec impatience. J'en avais marre. Tiré de mon lit par des mains vindicatives, entraîné dans cette pièce avec acharnement, j'avais bien envie de retourner me coucher. Mais comment discuter les ordres ? C'était impossible. Alors il fallait courber l'échine, ne rien dire et attendre. Le sort a fusé, éclair gris dans l'obscurité, avant de me cueillir en plein visage. J'ai réussi à ne pas choir comme un idiot, difficilement, et j'ai porté ma main à mes dents avec un grognement de douleur. « Ah bah tu vois ! » la voix a résonné dans la pièce, qui se rallumait lentement. Mon oncle était là, face à moi. Cet homme m'avait toujours impressionné par sa prestance; car par sa simple présence, il me réduisait toujours au silence, moi, la grande gueule. C'était un homme qui me ressemblait en tout point : brun, élancé, les yeux bleus pétillants. Je dois l'avouer que, plus tard, j'aurais espéré lui ressembler. Même s'il approchait de la cinquantaine, aucune mèche blanche ne venait éclaircir sa chevelure; aucune ride ne venait émacier sa face. A vrai dire, on aurait dit qu'il faisait mon âge : vingt ans à tout casser. A cette époque là, j'avais quatorze ans. Wagnus recherchait constamment la perfection, dans une course effrénée qui le laissait toujours aussi propre sur lui; toujours avec ce maintien droit et fier qui.. et bien, qui caractérisait notre famille. Mon père, Théophilius, était un homme plus effacé mais aussi plus sage, j'imagine. Deux faux jumeaux; deux magnifiques contraires qui s'entendaient pourtant toujours très bien, malgré les années, malgré les différents. Mon géniteur était présent, avachi dans son fauteuil rouge sang, toujours avec sa classe naturelle. Il était toujours comme ça; ensemble noir, le tout égayé par une chemise et un mouchoir blancs. Il s'approcha de moi, planta son index et son pouce droits dans mes joues pour me faire écarter les mâchoires, afin de regarder mes dents. « Parfait. Tu fais de l'excellent travail. » Il ne semblait pas convaincu, pourtant. Il n'avait recherché cette perfection, la chose qui obsédait jour et nuit Wagnus qui esquissa un sourire modeste. Il venait juste de rectifier l'angle de mes dents. C'était vraiment rien. « Vous pouvez allez vous recoucher, Septymus. » m'a dit mon paternel, en me poussant doucement du plat de la main vers les escaliers. Sans mot dire, j'ai laissé mon oncle me raconter de bien me brosser les dents, avant de monter en vitesse jusqu'à ma chambre. Toujours dans un silence lourd, j'ai donné des ordres à ma brosse à dent, qui s'est agitée jusqu'à ce que mes dents soient parfaitement blanches. La perfection était, pour moi aussi, quelque chose d'abstrait. Je me suis glissé dans mon lit froid en silence, en regardant le plafond et en essayant – vainement – d'ignorer les paroles de la famille, en bas. Ma mère, cette femme invisible, s'est glissée dans mes appartements pour venir déposer un baiser mystère sur mon front, m'arrachant une légèrement grimace. A l'intérieur, je jubilais. Ma mère, à l'instar de mon père, n'était pas fan des effusions sentimentales, si bien que j'avais grandi dans cette indifférence, dans ce je-m’en-foutisme qui me causa bien du tort par la suite. J'adorais quand ma mère déposait ses lèvres froides, pourtant douces, sur ma peau. J'avais l'impression de compter à ses yeux. C'était étrange, que de penser cela. Je veux dire, chaque enfant devrait compter aux yeux de ses parents, non ? Et bien moi, je n'avais jamais eu cette impression. Je pensais être à leurs yeux un simple gamin, ce truc mal foutu qui n'était jamais assez bien, jamais assez parfait pour son rang de Holloway. Car être un Holloway ne voulait pas dire faire partie de quelconque famille; mais bel et bien appartenir à un rang, être quelqu'un. Et en tant que personne, moi, je n'avais jamais voulu être quelqu'un.

« Septymus.. Septymus, réveille-toi ! » J'ai ouvert deux yeux éberlués, enfièvres, en pointant ma baguette magique droit devant moi. Ma sœur, ma tendre et douce sœur, a bondi en arrière, manquant de tomber du lit. Dans ses yeux se lisaient de la terreur, de la peur à l'état pur et j'ai rangé ma baguette avec un pauvre sourire désolé, accompagné d'une grimace expressive. La poitrine de Dracilla se soulevait avec difficulté, avant de pouvoir faire un petit sprint, tant et si bien que j'ai cru qu'elle allait tourner de l'œil. Je me suis approché, m'apprêtant à poser ma main sur son épaule quand elle a encore reculé, atterrissant sur le plancher dans un bruit feutré. Armée d'une bougie qui arrivait à sa fin, elle a baissé les yeux sur sa main, où s'étalait déjà de la cire brûlante. Elle ne bronchait pas. Dracilla n'avait jamais éviter mon contact. Elle m'évitait toujours le sien. Elle avait grandi avec la même rengaine, une doctrine qui avait changé jusqu'à sa manière de vivre : elle était une pestiférée. Malade, malchanceuse, incompétente; on lui avait donné toutes les sauces d'adjectifs péjoratifs avant d'arriver à la conclusion que son seul crime avait été de naître sans pouvoirs magiques. Ma mère en avait été frappée; on l'avait accusée d'infidélités alors que tous savait que c'était impossible, que ma génitrice était trop douce et aimante pour la chose. Mais il fallait un coupable. C'est comme ça que j'étais né; devant l'échec de la première, on en avait attendu beaucoup plus du second. Peut-être aurais-je dû lui en vouloir.. ? Je n'y arrivai; rien ni personne ne pouvait être coupable de mon incompétence, si ce n'est moi-même. Je me suis assis sur ma couche, alors que sœur s'en allait, muette de honte sans doute. Je ne m'étais jamais considéré supérieur à elle, malgré ce que l'on voulait me faire croire. C'était idiot de penser ainsi. Oui, il fallait le dire. Mon père était idiot. Malheureusement, c'était un idiot avec du pouvoir. Oh, évidemment, au delà de notre manoir, il n'en était rien. Il était juste un fonctionnaire du ministère de la magie, important certes, mais rien de plus. Il détenait bien deux-trois actions immobilières, mais jamais quelque chose de grandiose. Il avait du pouvoir sur moi. Il avait un entier et total pouvoir sur moi; des fois, j'avais l'impression de l'entendre murmurer à mon oreille, durant mon sommeil. Il était omniprésent, un peu comme élevé au rang de dieu par ma conscience. Quoi que je fasse, quoi que je dise, quoi que je pense, il le saurait. C'était le grand jour. La rentrée. J'avais attendu cela tout l'été, comme beaucoup d'enfants de mon âge j'imagine. J'avais alors quatorze ans, j'entrais à Poudlard dont on m'avait raconté mille histoires, mille contes tout à fait impressionnants. J'avais acheté ma baguette deux mois plus tôt mais impossible de faire un sortilège; mon père me l'avait confisqué jusqu'à cette dernière semaine, où je dormais avec pour m'entraîner à la tenir droit. Très important. Nous étions sur le quai de la gare avec mes valises, indifférents à l'agitation générale. Finalement, ma mère s'est postée devant moi. Elle a resserrée ma cravate noire, commune à la première année, et m'a regardé droit dans les yeux. J'y lisais une certaine fierté; même si je pense, après coup, que c'était de l'indifférence pure. Elle m'a embrassé les deux joues en vitesse, avant que mon père ne me serre la main et que je monte dans le train, la cage de mon hibou sous le bras et ma valise au bout de l'autre. Les autres enfants, mes futurs camarades, se précipitaient aux fenêtres pour recevoir un dernier signe d'encouragement de leurs parents, un dernier regard fier et joyeux. Moi, j'ai cherché un compartiment vide et je m'y suis assis, en proie à ma solitude. Très vite, il s'est rempli. Il était uniquement composé de garçons, le compartiment, et tous se connaissait. « Et toi ? C'est quoi ton nom ? » m'a demandé un gamin qui avait du mal à articuler. Je l'ignorais alors mais il s'appelait Kazran et deviendrait mon meilleur ami par la suite, le seul qui puisse me décoincer afin de devenir ce que je serais. Pour l'instant, il avait des cheveux blond cendré qui lui tombaient sur deux yeux de fouine cerclés de lunettes. « Holloway.. Septymus Holloway. » Il m'a tendu la main, qu'il avait moite et faible, avant de décliner son identité. J'ai serré sa main avec inquiétude. Il était de sang pur, au moins ? « Vous pensez aller à quelle maison, vous ? » C'était le petit brun qui avait parlé, à la gauche de Kazran. Il s'appelait Amadeus. C'était un enfant énergétique, toujours prêt à rire et à faire des idioties. Lui aussi deviendrait mon meilleur ami, avant d'être relégué au rang d'ennemi. Chacun donna sa maison hypothétique, Serdaigle et Gryffondor étant les deux maisons les plus appréciées, apparemment. J'ignorais leurs existences. « Et toi, Septymus ? » Il m'avait appelé par mon prénom. Personne, en dehors de ma famille, ne m'avait jamais appelé par mon prénom. Ça sonnait bien. J'ai souri à l'adresse de Kazran, en coin. « Toute ma famille est allée à Serpentard, ai-je fait d'un ton évasif. Mais la maison n'est pas importante. Le plus important est ce qu'on est vraiment. » Au début, il y a eu un petit silence. Puis Amadeus m'a tapé l'épaule avec un grand rire. Ils m'adoptaient.

Nous étions tous là, dans la Salle Va-et-Vient. Nous avions pour seule lumière une bougie qui trônait là, diffusant sur nos visages des ombres menaçantes. Amadeus parlait, avec sa facilité habituelle, alors que Kazran notait; tandis que les autres écoutaient. Au final, nous avions tous atteri à Serpentard. Deus aurait préféré être à Gryffondor; Kazran à Serdaigle; mais ils avaient fini par se faire à l'idée de notre mauvaise réputation. Au fond, nous étions pas méchants. Ambitieux, à la rigueur. Nous voulions juste changer les choses. C'était vraiment idiot, pourrait-on penser, de voir quelques jeunes adultes s'acharner sur des conversations politiques, économiques ou stratégiques. Des fois, je désespérais. Ils ne devaient pas le savoir. Si le doute se semait dans les esprits, c'était la fin. La guerre nous concernait directement. Et ça, j'avais l'impression qu'Amadeus ne le comprenait pas. Je veux dire, pour lui, c'était comme un jeu; quelque chose d'énorme où il fallait gagner pour le renom, pour qu'on dise que telle et telle personne avait combattu aux côtés de telle ou telle personne. Moi, je pensais plutôt aux générations futures, nos enfants. Tout le monde se fichait de moi, à cause de ça. Le Serpentard fier que j'avais été durant mes premières années, le petit garçon pauvre d'amour et solitaire avaient été remplacé par Septymus, que personne n'appelait Holloway, ce grand gars élancé qui passait ses jours à sourire et ses nuits à soupirer de passion. Ce n'était pas.. ce n'était pas vraiment vrai. Moi, je ne pensais qu'à une seule personne. Une belle Serdaigle, dont l'indifférence n'avait d'égal qu'à sa beauté. Je ne crois pas qu'elle s'en rendait compte; de la chose que je ressentais pour elle, je veux dire. J'étais avachi sur ma chaise, la joue profondément ancrée dans la paume, et je jouais avec un bout de feuilles. Amadeus, à ma droite, animait les débats alors qu'à ma gauche Kazran notait fiévreusement. C'était les deux personnes qui comptaient le plus à mes yeux. Kazran avait toujours été un peu calme et sage, le plus de nous trois, mais c'est lui que je préférais. Avec Amadeus, je n'étais jamais d'accord; pourtant, j'aurais préféré me tuer plutôt que de m'en séparer. Je pensais cela jusqu'à ce qu'il dise : « Septymus ? Puis-je avec un petit de ton attention, s'il te plaît ? Ou bien préfères-tu fantasmer sur ta pétasse de sang-de-bourbe ? » Vous voyez le silence ? Le silence intense, qui vous scie les oreilles si bien que vous entendez votre cœur qui bat la chamade ? Voilà ce qui a suivi. J'ai relevé des yeux que je voulais calmes sur Amadeus, lui tendant la plus grosse perche du monde. « Pardon ? » Il a répété, avec aplomb, avec cet air tout à fait indifférent alors que je l'avais vu esquisser un geste vers sa baguette, sur la table. J'ai penché la tête sur le côté, lentement. Kazran s'est trémoussé sur son siège, alors que je ne quittais pas le regard bleu acier de mon camarade, que je considérais avant comme un ami. J'avais le cœur qui menaçait d'exploser, les muscles qui menaçaient de craquer. « C'est vrai quoi ! Tu ne fais plus rien, tu ne viens presque plus aux réunions, tu ne parles plus.. réveille-toi, Tymus ! Elle est pas pour toi ! Ou plutôt, t'es pas pour elle. » Il me prenait la tête. Les réunions.. quand il en parlait, il bombait un peu le torse. Le doute avait fait son chemin dans mon esprit, tant et si bien que je me demandais ce qu'on foutait là, plutôt que faire nos rédactions de magie noire. Je lui ai bondi dessus. Littéralement. Il n'a pas eu le temps de prendre sa baguette; alors j'ai délaissé la mienne. Autant le faire à la loyale ou, plutôt, à la moldue. Je lui avais agrippé le col avec force, brusquerie et rage, le plaquant au sol. Il ne pouvait rien faire. J'étais plus grand, plus fort et plus en colère que lui. « Qui es-tu pour me donner des leçons ? Qui es-tu, misérable mêlé, pour oser m'adresser la parole de la sorte ? Et surtout, qui es-tu pour critiquer une femme absente qui a plus de beauté que tu n'en auras jamais ? » Mon ton était monté crescendo, comme le faisait mon père quand il voulait avoir l'air impressionnant. J'étais impressionnant. Je le sentais dans ses yeux, ses prunelles d'ordinaire tout à fait indifférentes. Il n'a pas répondu et j'ai perçu une vague peur dans sa face, ce qui m'a galvanisé de la mienne. Je me sentais tout fébrile. Je me sentais bien, en position de force. Je lui décoché un coup de poing. Tant et si bien que tout le monde a tressailli, moi le premier. Depuis quand avais-je une telle force ? depuis quand avais-je une telle colère ? Ce n'était pas le genre de chose qui arrivait du jour au lendemain. « Ça, c'est pour avoir été impertinent. » Déjà sa joue semblait mal en point. Déjà mon poing en voulait plus. « Ça, je l'ai frappé, c'est pour l'avoir insultée. » Une telle peur dans ses yeux; une telle rage dans les miens. J'aurais pu continuer indéfiniment, songeais-je avec dégoût. « Ça, coup de poing, c'est parce que tu es faible. » J'étais fiévreux d'adrénaline, fier de ma force, horrifié de mon inhumanité. J'étais amoureux. Définitivement. Je me suis calme momentanément. Ils ont tous cru que j'en avais fini avec lui. J'ai rapproché son visage du mien, pas calmé pour un sou. « Et ça, je lui ai planté un coup encore plus violent que les précédents. C'est parce que je vais te tuer. » J'ai armé mon poing avec lenteur, alors que ses yeux s'écarquillaient avant de se fermer, dans l'attente du choc. J'ai senti une main sur mon coude qui a trouvé l'estomac de Kazran. Pourtant, il n'a pas bougé d'un centimètres, la main toujours agrippée à mon bras. « Laisse tomber, Septymus. Il n'en vaut pas la peine. » J'ai levé le regard vers mon ami, résolu dans sa diplomatie et, lentement, je me suis relevé. Je me suis détourné de mon ancien ami qui se relevait avec difficulté, trop content de s'en être sorti si aisément. Subitement, je me suis retourné et je lui ai craché à la figure; et il a fallu Kazran et tout mes camarades de chambre pour arriver à me sortir de la salle sans que je finisse Amadeus définitivement. « Laissez-moi le tuer ! Laissez-moi le tuer ! » j'hurlais, alors que Kazran avait posé une main calme sur mon torse. J'étais plaqué contre le mur du couloir du septième étage, sous le joug des sorts conjugués des frères Wells. « Calme-toi, Tymus. Calme-toi. » Il m'a parlé ainsi, un petit moment, avant qu'on convienne à me laisser mes mouvements et que j'accepte de me calmer. Et si elle passait par là ? Que penserait-elle ? Elle m'obsédait. J'avais lu un livre dont ressortait une citation qui correspondait tout à fait à la chose. “ Il y a deux sortes de passions : les passions que nous avons et les passions qui nous ont. On triomphe quelquefois des premières. ”

Il m'a secoué avec violence, moi, la poupée désarticulée dans mon lit. J'ai ouvert des yeux surpris surmontés de sourcils furieux, me radoucissant légèrement en reconnaissant Kazran. Il avait toujours cet air ébouriffés, les matins comme ça. Ses petits yeux gris plissés étaient tout enthousiasmés alors que ses cheveux blonds partaient en tout sens, lui qui aimait tant les garder ordonnés. C'était une semaine après ma crise contre Deus et nous ne nous étions pas encore adressés la parole. J'étais vraiment, vraiment en colère contre lui. On pouvait considérer ma réaction comme étant excessive; mais la sienne avait été tout bonnement insultante. Je savais parfaitement pour Kaz venait de me réveiller. Il ne fallait pas être un génie pour le comprendre. Il était assis sur mon torse à califourchon, ses doigts empoignant mon col de pyjama pour me secouer dans tous les sens. « Je suis réveillé, c'est bon.. » j'ai marmonné en retenant un bâillement sonore. Il a poussé un petit couinement joyeux en se laissant tomber à côté du lit, avant de tourner en rond autour de son lit, attendant que je me lève. J'ai réprimé un autre bâillement en m'asseyant sur mon lit, en tailleur. A cet instant précis, j'aurais bien été capable de me rendormir aussi sec mais mon camarade ne semblait pas d'accord avec cela. « Tymuuuuussss ! » a-t-il fini par geindre, en me voyant m'éterniser sur ma couverture. J'ai levé les yeux au ciel, avant de poser mes pieds parterre. Le sol, évidemment, était gelé. J'ai regardé par la fenêtre, qui était juste à côté de mon lit, et j'ai contemplé Poudlard sous la neige avec un petit sourire. Kazran était changé, tiré sur quatre épingles dans sa tenue réglementaire de l'école. Il me tendit la main que je serrais en me frottant les yeux, éreinté. J'ai juré à mi-voix. Mais je comprenais parfaitement mon ami. Il était orphelin de naissance, avait toujours vécu dans un bâtiment austère qu'il devait partager avec d'autres enfants plus cupides que lui. Il n'avait jamais fêté Noël.. Car aujourd'hui, nous célébrions la naissance d'une religion, nous nous apprêtions à manger comme des ogres à midi et puis ce soir. Même en temps de guerre. Je me suis trouvé injuste de célébrer un Noël heureux, alors que la guerre faisait rage ailleurs. Mais c'était ainsi. Nous étions choisis par la vie, privilégiés d'accéder à ce château si étroitement surveillés. Nous étions, en d'autres termes, enfermés. J'ai sorti de sous mon lit un livre maladroitement enveloppé dans du papier vert flashy, ce qui a soulevé les deux épais sourcils de mon ami, avant qu'il ne tape une main l'une contre l'autre. En fait, je ne regrettais rien. Il avait l'air tellement content.. Pourtant, je lui offrais une sous-daube du monde magique, une littérature fantastique qui n'avait de ce terme que le nom et non le contenu. Je veux dire, j'en avais un exemplaire et ce livre était vraiment pourri. Mais Kaz aimait cet auteur et, par-dessus tout, Kaz aimait les cadeaux. « Merci ! Oh, Tymus ! » a-t-il crié, en voyant le nom de l'écrivain incrusté en lettre d'or. J'ai souri alors qu'il me serrait brièvement contre lui, avant d'ouvrir et de commencer son livre. Il lisait beaucoup, Kazran. Énormément, en fait. Moi, je n'arrivais à avaler que les textes qu'il me passait. J'ai enfilé un pull par-dessus la chemise en continuant de regarder par dehors. Il devait bien faire froid, vu l'état de la fenêtre qui semblait sur le point de se fendre en deux. J'ai suivi d'un doigt distrait une fêlure avant d'achever de m'habiller, sortant de la salle commune des serpentard pour laisser Kazran lire et surtout pour échapper à l'ambiance festive de ce jour ô combien maudit. Je n'avais jamais aimé Noël. Les seuls cadeaux que mes parents m'avaient offerts étaient un dictionnaire de Runes – juste après que j'ai ramené un Effort Exceptionnel, note horrifiante d'après eux, de Poudlard – et parfois un morceau de chocolat à faire durer cinq minutes. On n'aimait pas trop faire de cadeaux. J'étais dans le parc enneigé. Il faisait un froid de canard. Pile ce qu'il me fallait, en fait. J'entendais quelques cris fuser de l'intérieur du château, semblant revivre dans ce capharnaüm qu'était la guerre. Je marchais à reculons désormais, détaillant le château à chacun de mes pas. La maison est là où se trouve le cœur. Mes yeux bleutés se sont égarés vers la tour de Serdaigle, où une certaine blonde avec un certain nom devrait sûrement être en train d'ouvrir un certain cadeau. C'était une plume d'aigle, idéale pour écrire des heures et des heures d'après le vendeur. Presque rien. Mais j'avais pensé à elle. En fait, j'avais pensé plus fort à elle. Car je ne pensais plus qu'à elle. C'était horrible. Je perdais, au fil des minutes qui passaient me séparant d'elle, l'esprit. Oh, et évidemment, je n'avais pas signé. Ma principale ambition n'était pas que quelqu'un, en dehors de ce cher Amadeus, sache que j'en craquais sévère pour une jeune femme, aussi pure soit-elle. J'avais jamais pensé aux filles, avant elle. Enfin si, évidemment. Comme tous les garçons de mon âge. Mais jamais de cette façon; cette façon d'entendre son cœur battre quand elle vous regarde. Le silence quand elle ouvre la bouche, les oreilles prêtes à avaler chacune de ses paroles et les lèvres prêtes à tout répéter comme si c'était des paroles sacrées. J'ai soupiré dans l'air froid, formant un petit halo de buée qui s'est déposé autour de moi. L'amour, que dis-je, l'adoration, ça craint.



Dernière édition par G. Téonard Rosier le Sam 15 Oct - 8:05, édité 9 fois
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G. Téonard Rosier
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Ҩ what's your greatest pleasure, what's your greatest pain ?

TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. Guys10
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Rosalynn Willems-Cuìnn
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyMar 18 Oct - 11:34

AOOONNNN, ''REBIENVENUE'' MON BEAU BRUN TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 2124793060
Bonne chance pour ta nouvelle fiche ♥️ J'ai hâte de la lire, vraiment Smile
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G. Téonard Rosier
G. Téonard Rosier
GRYFFINDOR ҩ I think my spine exploded but i'm fine.

ϟ inscription : 03/09/2011
ϟ hiboux : 110
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyDim 23 Oct - 11:30

    MERCI CELLE QUI M'A TUE *sbaf* TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 2124793060 TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 2124793060 TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 2124793060

    merci encore, jolie blonde TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 4205929361 (ton avatar + ta signature de ce moment ♥️)
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Nolhan C. Dawkins-Buckley
Nolhan C. Dawkins-Buckley
GRYFFINDOR ҩ Life is short, break some rules.

ϟ inscription : 05/08/2011
ϟ hiboux : 661
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyDim 23 Oct - 11:37

JUSTE UNE CHOSE A DIRE, TEO/CORDY&NONO = THREESOME TEAM. TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 704512273 TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 918094149
rebienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 673849266
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Cordélia Dawkins-Buckley
Cordélia Dawkins-Buckley
SLYTHERIN ҩ It's kind of fun to do the impossible.

ϟ inscription : 18/08/2011
ϟ hiboux : 743
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyDim 23 Oct - 17:05

Threesome, ça sonne très sexuel dans ma tête ça me plait... boumboum TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 702243357 TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 166564858 *claque*

BONNE CHANCE POUR TA NOUVELLE FICHE BRO whatchaa
Tu sais que je la suis de très près. snif
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E. Czarina Alinovitch
E. Czarina Alinovitch
SLYTHERIN ҩ I swear I'm sweating like a sinner in church.

ϟ inscription : 08/08/2011
ϟ hiboux : 917
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyDim 23 Oct - 17:37

Re-bienvenue mon beau TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 702243357
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Rosalynn Willems-Cuìnn
Rosalynn Willems-Cuìnn
RAVENCLAW ҩ Love looks not with the eyes, but with the mind.

ϟ inscription : 10/08/2011
ϟ hiboux : 1411
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyDim 23 Oct - 22:10

Ouuuiiii, mon martyr préféré.
Tu me pardonnes, hein, de t'avoir tué, dit ? TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 1609977672

Moi je kiff ton gif *-*
Et et, ton avatar tout sombre Cool

TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 918094149
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Gwendolyn W. Thomas
Gwendolyn W. Thomas
GRYFFINDOR ҩ I'm taking chances in the here and now.

ϟ inscription : 01/09/2011
ϟ hiboux : 122
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyLun 24 Oct - 7:16

Héhhé! TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. 1532001046

Rebienvenue What a Face
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Jaymes E. Hexington
Jaymes E. Hexington
SLYTHERIN ҩ It's kind of fun to do the impossible.

ϟ inscription : 28/08/2011
ϟ hiboux : 103
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MessageSujet: Re: TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.   TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS. EmptyLun 24 Oct - 17:05

TÉOOOOOOOOOOOOOOONAAAAAAAARD boumboum boumboum
je t'aime.

(c'était le message inutile de la journée.)
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TÉONARD ◮ J'AI TROP D'SEX-APPEAL QUAND J'ME REGARDE PARFOIS JE JOUIS.

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