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BIENVENUE SUR AMORTENCIA Invité ! ҩ La deuxième intrigue va bientôt arriver! ҩ Veuillez privilégier les maisons POUFSOUFFLE et GRYFFONDOR!!! Si possible et si cela n'est pas nécessaire, évitez les maisons Serpentard et Serdaigle ainsi que le statut de "sang pur"
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 Quand on perd son amour, c'est toujours une fille.

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Quand on perd son amour, c'est toujours une fille. Empty
MessageSujet: Quand on perd son amour, c'est toujours une fille.   Quand on perd son amour, c'est toujours une fille. EmptyMer 31 Aoû - 12:01

    Elle court. Là, dans l'herbe, elle court. La nuit, elle est tombée depuis quelques heures déjà. Il fait noir. Rien d'étonnant me direz vous, quand on sait que le matin ne tardera plus a se lever. Oui, rien d'étonnant. L'herbe, elle est encore un peu humide. Pas trempée, non. Parce que la veille, il a un peu trop plu. Alors le vent, il s'engouffre parmi les feuilles encore couverte d'une fine couche transparente. Il est tard ou il est tôt, je l'ignore. Alors sur ses épaules, Erza elle remonte sa cape, la noir, celle dont elle se sert pour sortir. Oh, elle le sait qu'elle n'aurait pas du. Elle le sait, pourtant ce soir là, une fois le repas terminé, elle était sortie. Et puis, y avait lui, le type de troisième années, celui qui lui avait dit qu'il l'aiderait pour les cours de métamorphose. C'était pas le genre de garçon qu'on remarque, non. Mais il la regardait sans arrêt. Elle, Erza. Alors oui, elle avait accepté lorsqu'il lui avait proposé de le retrouver près du lac. Juste parce qu'il avait l'air perdu, et que c'était l'occasion de se tester, de voir où elle en était. Parce que depuis que monsieur et madame ses parents avaient décidés de l'offrir aux Lannisters, il avait fallut se tenir, faire bonne image. Jouer les bons parties, c'est a peu près ça. Alors elle y était allé. Les autres, ils étaient au courant. Du moins ceux qui lui étaient proches. Ils savaient où elle allait, et a elle, ça lui plaisait. Mais voilà, quand elle était arrivée, oui, il était là, debout dans l'herbe, l'air perdu. Il commençait tout juste a faire nuit. Juste un peu. Il lui avait bégayé un « bonjour » auquel elle n'avait pas répondue. Il avait dit qu'ils pouvaient commencer, que si elle avait amené ses affaires, qu'il pourrait l'aider. Pour les cours oui, et a nouveau, elle n'avait pas répondue. Y avait quelque chose qui clochait. Oui. Et puis, ils s'étaient assit. Elle lui avait sourit, avait glissé sa main sous la sienne. Oh oui, il avait surement frôlé la crise cardiaque, et Erza en plus de se trouver rassurer sur son pouvoir de séduction avait pu confirmer sa théorie selon laquelle ceux qui n'étaient pas de son rang étaient bien plus fragiles émotionnellement. Les sangs purs ont toujours été supérieurs aux autres par bien des points, celui ci parmi tant d'autres. Les sang mêlés, les impurs comme disait son père, il leur manquait quelque chose. Oui, quelque chose. Mais ce soir là, rien de plus qu'une main effleurée. Non, elle ne lui aurait pas offert plus, pas a lui. Pas même a un autre. Il parlait, s'arrêtait parfois pour lui demander si elle avait comprit, ce a quoi elle répondait par un hochement de tête distrait. Et puis la nuit était tombée. Là haut, dans les tours du château, les autres avaient certainement regagnés leurs dortoirs.

    « Abruti ! Rends le moi immédiatement tu m'entends ?! Rends le moi tout de suite ! » Elle s'était levée, sa baguette pointée sur lui, un léger point de lumière en éclairant la pointe, et lui, il semblerait qu'il n'ai pas comprit. Elle était là, plantée devant lui, et oui, je pense qu'elle aurait été prête a le tuer. La baguette, elle était venu s'enfoncer dans la poitrine du garçon pour le forcer a reculer, alors que la princesse verte et argent avançait sur lui en le qualifiant de voleur, de vermine, de sale moldu, de déchet, et tout un tas d'autres adjectifs dont je vous passerais les détails. Parce qu'après tout, qui d'autre que lui aurait pu s'emparer du bijou ? Cela faisait partie des règles a connaître, des règle qu'on lui avait inculquée étant enfant. Les impurs sont des voleurs, des criminels. Alors qui d'autre que lui ? Le visage du garçon, il était soudain devenu livide. Parce que l'espace d'un instant, il s'était autorisé a penser que ses amis avaient peut être tord, qu'elle n'était pas si terrible que ça, la princesse Taràgrÿmm. Non, pas si terrible que ça. Alors il l'avait laissé faire, lorsqu'elle avait murmuré le sort d'attraction. Le contenu de ses poches était venu s'étaler sur le sol. Et puis elle l'avait laissé partir. Parce qu'il n'en valait pas la peine. Non.

    Alors voilà, nous arrivons au moment présent, ou peut être quelque minutes avant. La chose tant convoitée par la demoiselle n'était autre d'une petite chaine en or qu'elle portait habituellement autour du poignet. Rien de bien dramatique me direz vous, si ce n'est la valeur que la demoiselle lui portait. Un cadeau, juste un cadeau offert par Allistair quelques mois plus tôt, a l'époque où ils paradaient encore au bras l'un de l'autre. Non, elle ne l'aimait pas, pas lui plus qu'un autre. Il était seulement celui qu'on pouvait être fière d'avoir fréquenté. L'homme qu'elles s'arrachent toute. L'homme qui l'avait choisit elle. Non, elle ne l'aimait pas. Pas plus qu'un autre. Il avait seulement été le premier a sembler faire attention a elle. Je ne parle pas d'amour, non. Il la regardait, la désirait. Et Erza, quand il posait son regard sur elle, oui, elle se sentait jolie. Et puis, elle s'en souvenait, du jour où en la croisant dans un couloir, il avait glissé dans sa main la petite chaine dorée. Et puis avec, écrit sur au dos d'une simple serviette en papier, il lui avait donné rendez vous quelques heures plus tard. Ce jour là, oui, elle y était allé. Elle l'avait rejoint dans la salle sur demande. Pour la dernière fois. Et puis, a Erza, jamais on ne lui avait fait de cadeau. Pas de vrai je veux dire. Pas de poupée a noël, ni même de jolies robes pour son anniversaire. Alors celui là, il était important. C'est peut être pour ça, que ce soir là, alors qu'il faisait nuit, Erza elle s'est sentit pas bien, comme vide tu vois. Comme si il manquait quelque chose. Toute nue, ça doit être quelque chose comme ça. C'était a elle, juste a elle. Pas Taràgrÿmm, non, ça lui appartenait a elle. A elle toute seule. Enfant, Erza, elle rêvait d'épouser un homme puissant un beau, un de ceux qui la couvrirait de cadeaux. Elle rêvait d'une grande maison, et qu'il l'emmène en voyage. Loin. Au lieu de ça, on l'avait offerte comme on offre un tapis a une vulgaire famille de sang purs couverts de honte. Baignés dans des histoires de famille qu'on préfère taire. Mais sa mère et ces gens là, c'était une histoire de vieilles amitiés qui remontaient a des années. Elle devait être celle qui leur rendrait leur fierté, même si au fond, elle n'en avait pas vraiment envie. Parce que lui, monsieur le futur époux, c'était pas le genre a la couvrir de cadeaux, non, ni même a l'emmener avec lui pour voir un monde qu'elle ne connaissait pas. Non. Plutôt le genre a s'emparer des choses auquel elle pouvait tenir. C'était lui, pas l'idiot. Qui d'autre ? Qui aurait put être assez stupide et méprisable pour la priver du bijou ? L'homme de sa vie, son futur mari.

    « Lannister ! Réveil toi bordel ! Réveil toi ! » Debout devant son lit a lui, elle parle fort, peut être même un peu trop. Souvent quand elle était gamine, Erza elle faisait ça, elle venait se planter là, devant lit de ses parents, et elle parlait un peu trop fort pour qu'ils se réveillent, qu'ils fassent attention a elle. Sa mère murmurait qu'il était tard, son père lui disait d'aller se faire voir. Mais qu'il ose, lui, de lui dire d'aller se faire voir. Qu'il ose. La main d'Erza, elle s'empare la couverture. Râle abruti, oui, râle. Peut être qu'il est mort après tout, que c'est pour ça qu'il bouge pas. Peut être que quelqu'un est passé avant elle, qu'on l'a déjà privé de sa vie de prince. Pourtant, le voilà qui bouge, et Erza, de sous sa cape, elle en sort sa baguette. Non, elle a jamais été vraiment douée pour se battre. Pas a main nue du moins. Alors elle recule, la main pointée sur lui. Ouvres les yeux idiots. Oui, ouvres les tes beaux yeux.
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Quand on perd son amour, c'est toujours une fille. Empty
MessageSujet: Re: Quand on perd son amour, c'est toujours une fille.   Quand on perd son amour, c'est toujours une fille. EmptyVen 2 Sep - 23:20


Quand on perd son amour, c'est toujours une fille. Tumblr_lqwkveqE3w1qhcevxo1_500
ϟ SHE SHAID... WAKE UP BABE !
mois : début septembre heure : l'heure de midi. météo : claire, grand soleil, mais température est assez basse tout de même.


Le Quidditch était un sport que Ulysse affectionnait tout particulièrement. Pourquoi ? Il s'agissait d'un sport qui nécessitait l'envie de vaincre, un sport d'équipe également où la rage, la hargne sont maitresses. Des qualités que Lannister chérissait réellement. Le jeune homme avait hâte de débuter la séance d'entraînement, la première pour cette nouvelle année. Lannister terminait d'enfiler son entraînement, dans les vestiaires. Prenant grand soin à bien serrer les lanières en cuir de ses protections aux bras et aux mains. Cette année, il était bien déterminé à faire gagner sa maison, les serpentard, autant à la coupe des quatre maisons, qu'au quidditch ! Oui, sur tous les domaines possible pour montrer leur inéluctable supériorité par rapport aux autres maisons, beaucoup trop sages et enfantines, pour lui. Enfilant son maillot de joueur sur lequel il portait le numéro 4, le jeune homme vérifiait avec soin si ses lacets étaient fermement attachés et ils l'étaient ! Il hocha la tête, satisfait avant de prendre son balai, son meilleur ami avec sa baguette. Il s'agissait d'un éclair de feu. Oui, pourquoi un éclair ? Il faut le meilleur équipement pour le meilleur tout simplement et avec la petite fortune dont disposaient les Lannister, Ulysse n'avait pas de difficulté pour en avoir un ! Fier, sur son nouveau balai, puisque l'année dernière, il avait une bombe bleu, il sortit des vestiaires pour rejoindre son équipe. Ils étaient tous là et les serpentard avaient le terrain pour la matinée. Une matinée fraiche, mais avec un soleil tapant fort. Les rayons pénétraient la peau du jeune homme qui sentait la chaleur naître sur lui. Il s'en réjouissait et le manifesta par un léger sourire.

« Bien, on va commencer à s'entrainer avec les passes et l'esquive des cognards ! » expliqua le capitaine alors que les batteurs avaient leur batte en main.

Ulysse hocha la tête, satisfait de débuter de suite l'entraînement. Il enfourcha son éclair de feu et décolla rapidement en compagnie des deux autres poursuiveurs. L'esquive des cognards étaient d'une facilité déconcertante, mais le fait d'avoir un nouveau balai très rapide et sur lequel, Lannister ne savait pas du tout entraîner, ou presque pas était assez surprenant. Il fallait un temps d'adaptation. Le capitaine lança le cognard et rapidement, Czarina l'attrapa d'un geste élégant avant de piquer pour éviter un cognard. Dans son pique, elle fit une passe rapide pour un autre poursuiveur qui prit le souaffle d'une main en sautant de son balai pour que le cognard passe entre les deux. Une fois remit, il avança vers les buts à toute allure. Ulysse était content, c'était le mot. Le quidditch lui avait vraiment manqué, les sensations qu'il engendrait également. Il survola les gradins et fit signe de lui faire une passe, ce que son coéquipier fit. Ulysse arriva rapidement, plus vite qu'il ne l'aurait pensé avec son super balai et d'un geste, donna un coup avec le bout du balai dans la balle qui vola droit dans le but du milieu. HOP ! Un but !

« Trop facile... »

Satisfait, il s'approcha de Czarina et lui donna une tape dans la main. Ce n'était pas deux petits cognards qui allaient les arrêter ! Non mais ! Le capitaine hocha la tête, content de voir ses poursuiveurs en forme et relança ! L'entraînement ne faisait que commencer ! Ulysse attrapa le souafle et tourna vivement la tête. Un des batteurs venait de donner une frappe puissante et d'envoyer un cognard à vive allure derrière lui. Lannister fronça les sourcils et descendit en piquer, puis vola à ras de terre. La vitesse de l'éclair de feu le surprenait réellement et il regarda derrière lui, le cognard n'était plus. Ulysse soupira et il entendit une voix lui dire attention devant ! le jeune homme regarda rapidement et un autre cognard venait d'être lancé droit sur lui. Ulysse ouvrit grand les yeux et d'un geste, comme un réflexe, vira à droite, mais avec la force et la vitesse de l'éclair de feu, il perdit l'équilibre et tomba du balai. D'une main, il tenait le manche, mais le reste de son corps raclait le sable qui semblait dur comme du béton avec la vitesse. Ulysse grimaça et d'un coup, lâcha le balai qui continua sa route jusqu'à s'enfoncer dans le sable à son tour. Lannister laissa s'échapper le souaffle pour faire plusieurs rouler dans le sable à vive allure avant de sortir du cercle ensablé pour arriver sur la terre. La force du choc décolla de terre de l'herbe laissant apparaître de la boue dans laquelle Ulysse se roula avant d'arrêter sa course folle. Il y eu un grand silence, un moment absolu sans que personne n'ose parler. Ulysse ne bougeait pas d'un pouce et c'est Czarina qui, descendant de son balai, se précipita vers le préfet en chef. Elle le retourna rapidement.

« Par la barbe de merlin... Hm... Je vais le démonter... » maugréa Ulysse en grimaçant.

La chute avait été rude et en dehors de la boue, de la terre encore mouillée de la rosée du matin, Ulysse n'était pas que sale. Il avait mal au bras droit qu'il se tenait vivement d'ailleurs. De plus, sa lèvre se voulait fendue en deux et gonflée déjà, prenant ainsi, une teinte rougeâtre très peu belle. De son arcade droite, un épais filet de sang s'écoulait lentement, séchant déjà. Il était certain d'avoir plusieurs hématomes, bleu sur le reste du corps que Czarina ne pouvait voir. Ulysse se redressa tant bien que mal, en gémissant légèrement de douleur. Il se mit debout, aider par son amie et boita un instant. Heureusement, il n'avait rien de grave. Son poignet était certainement foulé, mais avec un bon sortilège tout ira bien. Ulysse s'approcha du reste de son équipe, sans un mot.

« Ulysse ! Je voulais pas te faire mal, ça va ? » lança vivement le batteur dont le cognard avait fait des ravages.

Mais Lannister ne répondit pas. La rage se lisait dans ses yeux et de sa main qui n'avait rien, il frappa le serpentard qui recula, surprit, et tomba même sur les fesses. Un beau coup de poing dans le nez qui le fit saigner sur le coup. Le joueur se redressa vivement pour riposter, mais le capitaine et Czarina l'arrêtèrent alors que Ulysse, sans un mot, retourna dans les vestiaires. Il se changea aussi bien qu'il pouvait avant de sortir. Son éclair de feu ? Qu'importe, on le rangerait pour lui, il se doutait bien que Czarina le ferait et là, tout ce qu'il voulait, c'était être seul. Pourquoi s'énervait-il ainsi ? Il ne supportait pas l'échec, il n'attendait qu'une chose, la victoire et la gloire et une chute pareille, c'était une humiliation pour lui. Une fois dans le château, Lannister s'enfonça dans les noirs escaliers humides qui donnaient lieu dans les cachots. Il croisa quelques élèves qui le dévisageaient.

« Hors de ma vue sales vermines ! Osez-vous seulement vous moquez de moi et je vous assure que vous n'aurez plus l'occasion de rire que quiconque ! » dit Ulysse avec hargne et énervement.

Une fois dans sa chambre, le jeune homme se détailla dans un miroir. Il soupira et passa un coton sur son arcade pour retirer le sang séché. Il prit sa baguette et lança episkey pour stopper le saignement. Pour sa lèvre, il fit la même chose et désormais, il n'y avait plus qu'une petite couleur vive, plus rien. Mais son poignet... Il devait monter à l'infirmière et il n'en avait aucune envie. Il prit un bout de tissu et se fit une écharpe rapide pour se reposer. Il devait se reposer, il irait à l'infirmerie pour se soigner ce soir, quand tout le monde dînait, là où les regards seraient plus concentrés sur l'assiette que sur la foule. Ulysse soupira et se coucha, fermant les yeux doucement. A sa surprise, il trouva le sommeil quelques minutes plus tard. Mais l'histoire ne s'arrêtait pas là. Alors que Ulyssa dormait paisiblement, il se réveilla et sursauta en voyant Erza. Oh, mon dieu, il ne manquait plus qu'elle ! il arqua un sourcil en voyant sa baguette. Qu'est ce qu'elle avait ? Il recula et passa une main dans ses cheveux, encore endormit.

« Je dormais... Tu ne sais pas frapper, Taràgrymm ? Bordel... Bon alors, qu'est ce que tu veux ? Et baisse ta baguette, elle ne m'impressionne pas le moins du monde. »




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