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BIENVENUE SUR AMORTENCIA Invité ! ҩ La deuxième intrigue va bientôt arriver! ҩ Veuillez privilégier les maisons POUFSOUFFLE et GRYFFONDOR!!! Si possible et si cela n'est pas nécessaire, évitez les maisons Serpentard et Serdaigle ainsi que le statut de "sang pur"
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 The past never die ♣ EMRYS

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Briséis M. Ferguson
Briséis M. Ferguson
HUFFLEPUFF ҩ Procrastination is hard work.

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MessageSujet: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptySam 3 Sep - 13:01

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♣ Qu'importe le temps, qu'emporte le vent,

mieux vaut ton absence que ton indifférence ♣


Les fenêtres de la chambre de Briséis laissait apparaître un temps des plus maussade. Un temps qui ne donne envie de rien faire, qui donne juste envie de rester dans son lit, surtout pour un Dimanche. Les nuages au dehors menaçaient d’un orage imminent. Briséis, elle, était encore dans son lit partageait entre l’idée de descendre faire un tour ou de rester tranquillement dans sa chambre sans que personne ne l’a dérange. En réalité elle n’avait tout simplement pas envie de croiser Emrys … Depuis la rentrée elle ne lui avait pas vraiment parler, ils s’étaient juste croiser rien de plus. Cela cependant lui aller très bien, car elle ne voulait pas le voir, en réalité elle avait apprit son emploie du temps par cœur dans le seul but de ne pas tomber nez à nez avec lui, enfin c’était l’excuse qu’elle se trouvait. Elle avait remarquer qu’il avait bronzer ce crétin, il avait sûrement dû passait des vacance exquise avec sa bande de riche amis. C’était plus fort qu’elle : elle le détestait. A vraie dire cela semblait être un mélange entre de la haine, du dégoût et de la passion. Quelque chose d’explosif en somme. Et voila elle repensait encore à lui, elle se mettait encore pendant de longue minutes à des réflexion à son sujet, elle savait bien qu’il ne fallait pas qu’elle reste dans sa chambre, car toute seule à ne rien faire, elle pense et ses pensées la ramène la plupart du temps à Emrys. Il fallait qu’elle sorte, qu’elle se change les idées, qu’elle l’oublie le temps d’un instant. C’est alors qu’avec une flemme impossible Briséis se laissa traîner, telle une larve vers la salle de bain pour se contempler dans le miroir. Ce n’était vraiment pas beau à voir : elle avait les cheveux emmêler dans une sorte de chignon touffue, habiller avec un vieux pyjama de gamine sur laquelle il y avait un nounours et écris « Tobby is my best friend » effectivement il fallait vraiment qu’elle change de pyjama. Cependant il était tellement confortable qu’elle ne pouvait se détacher de lui et au finale personne ne l’a verrait avec ? Son regard se posa sur le rebord de la salle de bain ou se trouvait sa boite à bijoux, il y avait un collier qui dépassé de la boite, c’était le collier qu’IL lui avait offert lors de ce fameux Noël … elle se rappelle qu’il lui avait dis qu’il avait une surprise, elle, instinctivement avait pensée à une blague de gamin du genre « J’ai une surprise » alors qu’en réalité il n’en est rien. Il lui avait dis de fermer les yeux et avait mis le collier à son cou, il était tout simplement magnifique. A vraie dire ce collier n’était pas anodin, quand ils étaient petit, tout deux étaient aller avec leur mère faire les boutiques et pendant que leurs mère discutaient, Briséis étaient scotché sur une vitrine. C’était une bijouterie assez réputé, en général Briséis n’aimait pas tellement les bijoux, elle trouvait cela superflue et d’un moindre intérêt, mais là en voyant ce collier elle était tomber sur le charme. C’était un collier simple, avec en pendentif un sœur qui s’ouvre et laisse entendre une mélodie somptueuse, elle c’était dit qu’un jour elle l’achèterait. Puis elle avait oublié, mais lui apparemment non. Elle avait faillit pleurer mais c’était retenu de paraître trop émotif devant lui. Et voila que ça repartait, elle pensée encore à lui. De toute façon ce collier maintenant, elle ne le mettait plus, elle le gardait forcement, mais n’avait plus le goût de le mettre. Emrys n’était plus le garçon avec qui elle avait passait des vacances de Noël et elle, elle n’était plus cette même fille. Elle se voulait froide avec lui et indifférente sur tous les bords.
C’est avec une énergie de mollusque que Briséis alla devant son armoire pour se changer. Elle avait bien envie d’aller dans le bain des Préfets histoire de se détendre un peu. En plus de cela elle se disait qu’il n’y aurait personne, car généralement quand il y va à cette heure il n’y avait personne. Elle sortit un immonde maillot d’une pièce rouge avec d’affreux point blanc que sa mère lui avait offert cette été et qu’elle avait était obligé d’accepter et mis par-dessus son uniforme, car elle préférait se « baigner » là bas et se détendre plutôt que de réellement se laver. Oui vous pouvez le dire, elle est spéciale. Elle détacha ses cheveux, après les avoir coiffer et sortit enfin de sa chambre. Emrys dormait encore, heureusement, elle n’aurait pas pus supporter une dispute à peine réveiller. Elle se mit à déambuler dans les couloirs jusqu’à son but. Là elle ferma la porte et se déshabilla laissant place à l’horrible maillot rouge à point blanc. Elle avait l’air de … elle ne savait pas vraiment de quoi elle avait l’air mais c’était pitoyable comme spectacle. Elle ouvrit l’eau et se plaçât prés du bord, l’eau était chaude et douce. Elle posa sa tête sur le bord et se laissa aller dans un soupir de bonheur. Voila c’était exactement cela le bonheur se dit elle. Après plusieurs minutes dans cette position avec un sourire niais installé sur son visage, elle se sentit gêner, presque observé ? Elle se trouvait stupide de penser cela car elle avait fermé la porte, elle avait bien fermé la porte non ? Elle se remémora de son entrée et non, elle n’avait pas mis le verrou et quand elle ouvrit ses yeux c’est un Emrys le sourire au lèvre qu’elle aperçus, lui aussi venant apparemment pour se baigner. Elle le regarda avec des yeux rond tellement elle était choquée de l’apercevoir. Il avait lui aussi un maillot et était debout avec un sourire narquois sur les lèvres. Elle ne pus s’empêcher de remarquer qu’il avait bronzer, cela lui allait très bien, il avait dû aller dans un pays chaud pendant ses vacances. Il était beaucoup plus musclé et cela dessiner parfaitement son torse. Elle entendit un petit ricanement de la part du jeune homme, il avait remarquer qu’elle le détailler. C’est alors qu’elle fit le visage le plus détaché et hautain qu’elle eut pour pestait contre lui :
Briséis « Qu’est ce que tu fous là Wildmore ? Tu doit pas aller t’entraînait pour jouer à la baballe avec ton équipe à la noix ? »

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Emrys L. Wildmore
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyDim 4 Sep - 12:07

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Dimanche. Dimanche gris apparemment. Un jour tranquille que ce soit pour les sorciers ou les moldus. J'étais donc allongé sur le dos dans mon lit, les mains derrière la tête, les yeux ouverts fixant le plafond. Je ne savais pas tellement comment organisé ma journée. Il serait sans doute impossible de tenir correctement sur mon balais, si un orage éclatait. Depuis la rentrée, j'avais été promu au rang de préfet et Briséis aussi. Et oui, mon ancienne meilleure amie et aujourd'hui partenaire de joutes verbales, et moi, étions obligé de partager les mêmes appartements. J'avais entendu ma colocataire se lever, et je m'étais donc réveillé. Cela risque d'être houleux tout au long de l'année, je suis sûr que c'est ce que vous pensez tous dans vos petites têtes. Ça l'est. Seulement, il semblait que la blondinette ai pris la fâcheuse habitude de m'éviter. Bien que cela m'arrange en quelques sortes, j'avais l'impression de vivre avec un courant d'air. Un courant d'air que j'avais lâchement abandonné alors qu'elle avait besoin de moi, il y a quelques temps. J'avais le don pour gâcher tout ce qui m'approcher, peut être une caractéristique de plus pour les Serpentards. Pendant les vacances, je m'étais laissé guider par ma bande d'ami, sur une île paradisiaque. Soleil, farniente et tout le toutim. J'avais les moyens d'en profiter alors pourquoi s'en empêcher ? Malgré la pâleur que j'affichais habituellement, j'avais tout de même réussi à prendre des couleurs. Pas du rouge affreux, comme les moldus qui oublient de se tartiner de leur crème, mais d'un léger teint halé. Même si je me fiche un peu de la couleur de ma peau, il semblerait que pas mal de personnes l'aient remarqués. Pourtant, ces vacances ne m'avaient pas empêcher de penser à Briséis, cette fille qui été capable de me faire passer de la bonne humeur à la crise de nerf. J'avais beau essayer de l'ignorer que je finissais toujours par me plier les cheveux en quatre pour la faire bouillir de colère, en lui lançant des répliques cinglantes. A croire que c'était devenu un véritable jeu entre nous, et la plupart de mes confrères Serpentards, se demandaient comment nous avions pu devenir meilleurs amis à l'époque pré-Poudlard ! Je posais la question de temps à autre moi aussi, et c'est généralement à ce moment que le dernier Noël que nous avions partagé, me revenait en mémoire, comme une époque lointaine. Lorsque je gardais encore en mémoire, le moment où elle avait collé son petit nez contre la vitre d'un magasin de bijoux. L'époque où elle s'était promise qu'elle se l'achèterait, où elle appelais encore les papillons papaton. Mais elle n'en a rien fait, du coup, je l'avais acheté, parce que je savais que c'était le seul cadeau qui pouvais lui faire plaisir en ce Noël, que c'était la seule chose dont j'étais sûr qu'elle en serait folle. J'étais tellement content que ce soit moi qui lui offre, que j'avais un peu agi en gamin. En même temps, à Noël tout le monde redevient gamin. Aprés ces minutes de réflexions, je décidais alors de me lever. J'arrachais mes draps et sauta de mon lit, d'un pied allègre. Je me dirigeais alors vers la salle de bain, vêtu d'un simple boxer. Pas pudique pour un sous, et alors ? Pas vu, pas pris.

Aprés un rapide examen de moi-même, je décidais d'aller me promener du côté de la salle de bain des préfets. Du moins, me baigner. Je lâchais un bâillement, un bain allait sûrement me revigorer. Je me dirigeais de nouveau vers ma chambre, pas de trace de la blonde Briséis. Étonnant, elle était sans doute parti à la bibliothèque pour bosser. Par Merlin, il fallait que j'arrête définitivement de surveiller ses moindres faits et gestes ! J'enfilais un boxer de bain noir, puis me vêtis de mon uniforme, histoire de faire le trajet jusqu'à la salle de bain. Je quittais nos appartements, et commençait à déambuler dans les couloirs, laissant vagabonder mon regards le longs des tableaux qui ornaient ces derniers. Ils étaient beaucoup plus intéressant que ces pauvres photos de moldus, qui restent figées et sans vie. Une fois arrivé à destination, j'énonçais le mot de passe et pénétrais dans la salle. Seulement voilà, je n'étais pas le seul à avoir eu l'idée de venir se prélasser dans un bon bain. J'aurais reconnu cette chevelure entre milles. Vous savez de qui je parle évidemment ! Briséis. Elle n'avais apparemment pas remarquer ma présence, je décidais donc de me défaire de mon uniforme et me mettre en condition. Je fais pervers là non ? Je me dirigeais alors vers la baignoire pour tenir compagnie à mon homologue féminin. C'est lorsque j'eus de l'eau jusqu'aux mollets qu'elle ouvrit de grands yeux ronds. Je lui sourit d'un air moqueur, et attendit une réaction de sa part. Une pique, une gifle, je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre... La seule réaction qu'elle eut, fût de me détailler du regard. Je n'étais pas gêné le moins du monde. J'émis un ricanement. J'aimais bien quand j'avais un semblant d'avance sur notre future dispute, histoire d'avoir des arguments en plus, pour la faire bouillir ! Elle reprit ensuite, me larguant sa première bombe avec l'air hautain qu'elle essayait d'adopter. « Qu’est ce que tu fous là Wildmore ? Tu doit pas aller t’entraînait pour jouer à la baballe avec ton équipe à la noix ? », pesta t-elle. J'arquais un sourcil, toujours mon irréductible sourire sur les lèvres. J'entrais entièrement dans la baignoire, m'accolais à la parois non loin de la blondinette, étendant mes bras et lâchais un soupire, les yeux mi-clos. « Il semblerait que je sois venu me détendre ! Mais avec ta voix criarde qui résonne à mes oreilles, je ne sais pas comment je vais faire. ». J'ouvris les yeux et tournais la tête vers elle. « Voyons depuis le temps que tu est ici, tu devrais savoir que cela s'appelle du Quidditch, mon ange.», ajoutais-je, d'une voix doucereuse.
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Briséis M. Ferguson
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyJeu 8 Sep - 12:06

Emrys se trouvait prés d'elle, enfin ils n'étaient pas coller l'un prés de l'autre, mais la distance était trop petite pour Briséis c'est pour cela qu'elle se décala légèrement sans rien n'y paraître.
Il affichait toujours ce sourire sarcastique si caractéristique de sa personne, ce sourire qu'elle avait tellement envie de lui faire décrocher tant elle ne le supportait pas. Après quelque instant il décida de lui répondre de façon tout à fait détendu « Il semblerait que je sois venu me détendre ! Mais avec ta voix criarde qui résonne à mes oreilles, je ne sais pas comment je vais faire. » Briséis émit un rire faux, il avait toujours eu un humour assez spéciale, avant elle rigolait de bon coeur de toute ses blagues, maintenant ce n'était pas vraiment la même chose. Elle ne put s'empêcher de parâitre surprise, il ne semblait pas décider à partir. Elle se disait au début qu'il allait partir pour ne pas avoir à faire à une de leur dispute mais elle se rappeler qu'il aimait tellement ça : la rendre folle de rage. Elle serait bien partit mais ses vêtements se trouvait à une distance trop éloigné de là ou elle se trouvait actuellement et puis ce n'était pas à elle de partir, elle était ici la première et ce n'est sûrement pas lui qui la ferait fuir d'un endroit. L'eau était apaisante, elle était chaude sans pour autant l'être excessivement, elle avait détendue les membres de la jeune fille, même si ils étaient toujours aussi tendue en présence de Emrys. Il c'était retourné vers elle pour poursuivre sa phrase « Voyons depuis le temps que tu est ici, tu devrais savoir que cela s'appelle du Quidditch, mon ange.» Elle avait horreur quand il utilisé ces surnoms avec elle, et ça il le savait. Cela la rendait folle de rage, en vérité dans les conflits qui les liés Emrys était beaucoup plus calme et intelligent usant du sarcasme et répliquant de façon tout à fait clame et amusé. Et cela Briséis n'arrivait absolument pas à le faire, ce qui l'énervait d'avantage c'est quand il rigolait alors qu'elle, était dans un état de colère terrible, dans des moments elle pourrait le tué sans problème. Elle leva les yeux au ciel en guise de réponse et fis un air dégoûté de la bouche en ripostant « Ha, ha, ha très drôle Wildmore. Tu ne devrait pas partir non ? Je ne sait pas tu a sûrement quelque chose à faire ? Non parce que tu voit j'ai pas foncièrement envie d'être en ta présence, peut être que tu devrait rejoindre " Pamela le cure dent américain " à ce que j'ai vu vous êtes très proche ! »
Voila elle l'avait dit. Elle c'était promit de ne rien dire par rapport à cela mais elle n'avait pas pus s'en empêcher. A la rentrée elle l'avait vu avec une jeune arrivante américaine -qui ne devait sûrement pas s'appeler Pamela, mais c'était le prénom de substitution que Briséis lui avait trouvé- du genre très grande, très mince, au yeux vert, la peau bronzé, une brune à la crinière parfaite; bref une très jolie fille. Elle les avait vu en train de sympathiser ensemble et elle avait ressentit quelque chose de bizarre. Non ce n'était pas de la jalousie, elle le saurait si elle était jalouse, quoi que ... Elle avais était dépitée et dégoûté par la scène qui c'était déroulé sous ses yeux et elle savait qu'elle n'allait pas apprécier cette fille. Quand elle avait vu cette fille, elle c'était remémorait Oskar. Elle l'avait rencontré cette été dans le bar ou elle travaillait, c'était le seule gentlemen qu'il pouvait y avoir dans ce foutue endroit. Ils étaient tous alcoolique et dépressif et Briséis détestait cet endroit. Il était venue un soir et avait essayer d'obtenir un rendez vous avec elle, elle n'avait pas accepter. Alors il avait persévéré, venant tout les soirs jusqu'à ce qu'elle accepte de sortir -enfin- avec lui. Il n'était pas plus beau que les autres mais il avait du charme, il était très instruit et faisait rire Briséis. Elle se rappelle qu'ils étaient allaient dans un pré pour regarder les étoiles, ils avaient parlaient de tout et de rien. Elle se sentait pour la première fois depuis le scandale bien, elle se sentait vivante et avait retrouvé sa vivacité. Elle avait même un peu oublié Emrys. Oui mais voila, Oskar avait tenter une fois de l'embrasser, Briséis n'avait tout simplement pas pus. Quand elle avait fermer les yeux c'était le visage du jeune blond qui lui venait instinctivement en tête. Elle avait essayer pourtant, mais elle sentait de la culpabilité en elle si elle l'embrasser, comme si elle tromper quelqu'un, comme si elle tromper Emrys... Et elle se détestait tellement, elle le détestait lui aussi d'avoir sans le vouloir et le savoir gâcher sa relation avec Oskar, c'est vrai il avait tout pour plaire, et lui au moins avait était là. Mais voila que ce n'était pas possible, elle ne pouvait pas. C'est pour cela que maintenant, cet épisode avait encore plus fermentait la haine qu'elle pouvait éprouvait pour lui. Le pire dans tout cela c'est que Oskar, à la fin de l’été lui avait dit qu'il espérait qu'elle serait heureuse et que même si ce n'était pas avec lui, il espérait que cela serait avec le garçon qui occupait les pensées de la jeune blonde. Il avait donc remarqué et cela depuis le début, que parfois Briséis paraissait absente même si physiquement elle assistait à une conversation, elle était dans une sorte de bulle imaginaire.
Après être sortit de ses réflexions Briséis voulus rectifié la phrase qu'elle venait de dire pour ne pas laisser de faux espoir à son homologue masculin « Ne croit pas que je soit jalouse, loin de là. C'est juste que je trouve que vous allez bien ensemble, vraiment. Je vous souhaite de faire plein de monstrueux petit enfants.» Bien évidemment elle avait prononcé cette phrase de manière sarcastique, définitivement Emrys avait bien déteint sur la jeune blonde, car elle parlait presque comme lui ...
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyDim 11 Sep - 9:09


Je prenais un malin plaisir à titiller les nerfs de ma chère Briséis. Quoi de plus amusant ?Bien qu'à certains moments, je n'étais pas d'humeur pour les disputes matinales, il semblerait que ce matin, je sois en forme olympique. Elle, semblait toujours aussi irritée par ma présence. Elle rit à ma réponse, mais un rire jaune, complétement faux. Pas du tout ressemblant avec celui qu'elle émet, lorsqu'elle trouve quelque chose de drôle. Je me défis pas mon sourire prétentieux, bien que repenser à l'époque où nous nous entendions bien, me rendit nostalgique. Ce qui était sûr c'est que je n'étais pas du tout enclin à plier bagages maintenant. La partie avait commencé, il fallait la terminé. Un énième round entre anciens amis et nouveaux 'ennemis'. J'avais utilisé le terme 'mon ange' face à Briséis, car d'un je savais qu'elle détestait les surnoms surtout venant de ma part, mais aussi car je voulais accentuer l'effet comique et improbable de la scène. Même la sirène qui nous observait en me faisant quelques œillades, l'avait remarqué. Briséis, plus moi dans un bain ? Ceux qui ne nous connaisse pas, pourrait bien être gêné en nous voyant, croyant sans doute à une scène romantique entre deux amoureux. D'autres laisserait vagabonder leur esprit tordu et pervers, sur une scène érotique. Vous voyez maintenant pourquoi cette scène est improbable ? Simplement parce que Briséis et moi, c'est un peu comme la chanson moldue de Dionysos, Song for Jedi. Sauf qu'on ne s'embrasse pas. Jamais. Et cela n'arrivera jamais. Quoi que l'idée m'a souvent traversé l'esprit. Au Noël dernier, l'embrasser pour lui témoigner mes sentiments, maintenant pour la faire enrager, quelques autres fois pour faire colporter des ragots – et encore la faire enrager, en bonus ! -. Mes réponses lui firent levé les yeux au ciel, et mon sourire s'agrandit, attendant l'offensive de la demoiselle. « Ha, ha, ha très drôle Wildmore. Tu ne devrais pas partir non ? Je ne sait pas, tu a sûrement quelque chose à faire ? Non parce que tu vois, je n'ai pas foncièrement envie d'être en ta présence, peut être que tu devrait rejoindre "Pamela-le-cure-dent-américain" à ce que j'ai vu vous êtes très proche ! », déclara t-elle. J'eus un rire moqueur. Pamela, le cure dent. Hm, très inventif ! Même si ce n'était pas le même prénom, il y avait effectivement une jeune arrivante américaine, elle n'était pas passer inaperçu d'ailleurs, très jolie fille. « Tu veux sans doute parler de Sam ?», demandais-je, une moue narquoise sur les lèvres. Comme prévu, elle réagis instantanément, rectifiant sa phrase. « Ne crois pas que je sois jalouse, loin de là. C'est juste que je trouve que vous allez bien ensemble, vraiment. Je vous souhaite de faire plein de monstrueux petit enfants », dit-elle, sarcastique.

C'était fou comme elle souhaitait à chaque fois se justifier de ses paroles maladroites. De plus, cela ne servait à rien puisqu'avec ou sans justification, je suis là … pour la mettre en rogne ! « Tu sais, ce n'est pas grave, il n'y a pas de honte à être jalouse, ma douce Briséis. », dis-je d'une voix mielleuse en la regardant dans les yeux. Je me penchais un peu plus vers elle. « De toute façon, avec mon charme naturel, cela ne m'étonnerais pas. Au fait, si on fait le point sur nos relations, comment va ton cavalier du bal ? Hm, James c'est ça ? », ajoutais-je, un sourire malicieux sur les lèvres. Je la titillais sur ce sujet, bien qu'il m'étais légèrement désagréable. Je n'avais plus tellement apprécier cette soirée, après qu'elle m'ait déclaré qu'elle me détestait. Un coup au cœur pour un mec prétentieux comme moi, je m'en étais tellement voulu que j'avais fini la soirée complétement alcoolisé et entrain de débiter un lot de connerie encore plus niaise les unes que les autres. Heureusement, j'avais trouvé une charmante compagne pour finir ma nuit, avec plus de douceur que ce que j'avais vécu quelques heures avant. Vous vous demandez surement si j'ai eu d'autres amis en dehors de la blondinette ? Et si ils sont toujours à mes côtés ? Et je vous répondrez qu'assurément, je n'ai pas besoin de Briséis pour survivre au niveau social. Bien que l'avoir comme partenaire de joutes verbales est bien plus divertissant que les conversations monotones que j'entretiens quelques fois avec des camarades. Et les relations amoureuses me diraient vous ? Eh bien, je n'ai pas besoin de relation stable, du moins, je ne m'en sens pas capable. Vous me voyez, moi, Emrys Wildmore, un sourire niais sur le visage, débitant des tyrades amoureuses pour ma 'dulcinée' ? C'est simplement ridicule. Je me contente donc du strict minimum, des conquêtes, des relations d'un soir. Oui, oui, cela fait très coureur de jupons, mais que voulez-vous c'est ainsi … Dans la confidence, je vous avoue tout de même que la seule personne qui a été capable de faire battre la chamade à mon cœur n'est autre que la jeune femme avec laquelle, je me dispute à l'instant même … Mais chut, c'est un secret !
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Briséis M. Ferguson
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyVen 16 Sep - 12:36

Briséis était en train de regarder Emrys, elle se remémorait de leur enfance. Emrys avait toujours était grand de taille et assez musclé, il aimait l’excercice et cela dés sa tendre enfance. Briséis se souvient précisément des journée ou il passait à courir à travers le prés situé en périphérie de leur quartier, Emrys courait et elle, elle essayait péniblement de le poursuivre tout en suppliant le jeune garçon de modifié son allure. Et comme une sorte de flash il lui revint un épisode précis …

FLAH BACK

Briséis avait passé la journée à se faire persécuté par son grand frère ainsi que sa sœur, ils lui avaient fait la misère pour ne pas changer- et était rester pendant deux heures enfermer dans le grenier. Elle avait pleuré toutes les larmes de son corps, la jeune fille n’avait même pas 9 ans. Après que sa nourrice lest découvert qu’elle était enfermée et qu’elle l’est sortit de cette situation embarrassante, Briséis était partie en courant de la maison. Elle aurait dû rejoindre Emrys et elle était assez en retard. Après avec traversé une série de manoir, ou était disposé en avant un tapis d’herbe coupé parfaitement, avec des fleurs en beauté même si il n’était pas la saison de planter ce genre de fleur. Les personnes issue d’un statue aisé ose donne comme règle que le paraître et important en tout point et même pour leur maison. Ce qui faisait que en tout temps, leur jardin se devait d’être impeccable, mettant une pression énorme sur le personnel lorsqu’ils voyaient un jardin mieux fleuri que le leur.
Briséis était donc dans l’immense champ vierge, parsemé par endroit de quelque coquelicot, au bout de ce champ qui prenait des teintes vertes, on pouvait voir si on s’avançait de plus prés, un lac. Ce lac n’était pas visible si l’on ne faisait que traversait prés du champ (ce que faisait la majorité des personnes) il fallait plus s’avançait et l’on trouver un lac d’une beauté magique. Emrys et Briséis l’avait trouvé en jouant, ils avaient décidé que cela serait leur lieu à eux, leur endroit magique loin de tout. Ils l’avaient même bâtie en écrivant sur un arbre la date à laquelle ils y avaient accédé pour la première fois. C’est alors que la jeune file apparût devant son compagnon de jeux. Elle était toute essoufflée et rouge comme une tomate, ses cheveux étaient surmontés d’un ruban bleu et ils encerclaient le visage rond et enfantin de Briséis. Sa robe lui descendait jusqu’au mollet mais elle l’avait remontait de tel façon que l’on pouvait soir ses jambes. Elle avait réussir à sortir d’une voix enjoué « Je suis enfin là, j’avais … des choses à faire » Elle ne voulait pas dire la vérité à Emrys, elle savait que si il savait il allait s’énerver et que si il s’énerver de gros problèmes se produiraient. Il n’avait pas l’air gêner car il connaissait parfaitement la jeune fille, qui arrivait systématiquement en retard. Cependant il savait que quelque chose clochait car le nez de la jeune fille se trémoussait et cela était le signe qu’elle mentait. La connaissent par cœur il savait que ce qu’elle disait était faux, mais il n’eut même pas le temps de répliqué de Briséis avait enchaîné « Beurk ! C’est quoi ça ? C’est ragoutant ! » Une limace était en train de continuait sa marche sur le bord du lac et la jeune fille la pointait d’un air accusateur. Elle avait quelque problèmes de prononciations qui persistait à son âge, ses parents lui faisait voir un spécialiste care elle n’arrivait pas bien à prononcer certains mot, c’est pourquoi Emrys la corrigeait systématiquement, ayant une intelligence très avancé pour son âge « C’est dégoûtant qu’on dit, pas ragoutant » Briséis avait levé ses yeux aux ciel et c’était assise prés de lui. Au bout d’un certains temps, après une conversation sans grands intérêts, Briséis avaient posé une question qui lui trottait la tête depuis toujours et qui était revenue de façon insistante en cette journée d’automne. Elle devait lui poser cette question d’autant plus qu’elle ne faisait pas confiance aux membres de sa famille « Emrys, tu me promet de rester toujours avec moi ? Hein ? Tu ne m’abandonneras jamais ? » Les yeux de la petite blonde était devenue sérieux et elle le regardait avec insistance, elle savait qu’il n’aimait pas ce genre de question qui déborde de sentiments et elle le savait aussi gêné. Il lui avait répondue qu’il serait toujours là pour elle et ils retournèrent chez eux. Briséis avait dormis avec une confiance total en l’avenir ce jour là.

FIN DU FLASH BACK

Cette époque était révolue, maintenant rien n’était pareil, tout avait changeait de façon brutale et une ombre était venue masquer leur amitié, leur amour …. Briséis ne savait tellement pas comment réagir avec lui, il avait fait naître en elle les pire tristesse mais aussi les grande joies, elle savait qu’elle ne pouvait entièrement le détesté, mais l’aimait elle pour autant ? Elle ne savait pas ou plutôt ne voulait pas savoir..
« Tu veux sans doute parler de Sam ?» Maintenant elle allait pouvoir mettre un prénom sur ce mannequin réel. Ce qu’elle savait c’est qu’elle n’allait pas l’apprécié c’était certains, pourquoi ? Elle ne savait pas encore. « Tu sais, ce n'est pas grave, il n'y a pas de honte à être jalouse, ma douce Briséis. » Et voila qu’il continuait avec ses surnom stupide, elle ne savait pas comment il arrivait à être aussi calme et comment il arrivait à lui faire monter ses nerfs en un rien de temps. Elle commençait à sentir une certaine rage lui montait à la tête et le fusilla du regard. « De toute façon, avec mon charme naturel, cela ne m'étonnerais pas. Au fait, si on fait le point sur nos relations, comment va ton cavalier du bal ? Hm, James c'est ça ? » Sa colère c’était enfuit dés la réplique du jeune homme, il était jaloux ou en tout cas s’intéressait à sa relation avec lui. Briséis ne pensa même pas qu’elle venait de faire la même chose juste avant en le questionnant sur la fille avec qui il était. Elle avait elle aussi envie de s’amuser et répliquas avec un sourire en coin « James se porte très bien, enfin je veux dire ON se porte très bien, il est tellement attentionné et charmant si tu savait … bref c’est le petit copain parfait quoi ! » Son nez se trémoussait et elle avait oublié que Emrys connaissait cette manie chez elle. En réalité James et Briséis n’étaient pas ensemble, ils avaient découvert qu’ils n’étaient que de simples amis.
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyDim 18 Sep - 16:30


Pendant notre enfance, les rares personnes que nous ne connaissions pas dans le quartier où nous résidions, Briséis et moi, nous prenais souvent pour frère et sœur. Des jumeaux, la plupart du temps. Étant blonds tout les deux, avec les yeux bleus et inséparables. Il y avait de quoi se perdre. Bien évidemment, lorsque l'on nous posé la question, nous fixions la personne en riant. Puis nous nous excusions et partions en courant. A présent, il était sûr et certains que nous n'étions plus catalogués comme 'potentiellement' jumeaux. Plutôt comme 'personne à éviter de croiser lorsque nous sommes dans la même pièce'. Et oui, ce n'est plus le même statut. Les enfants changent, grandissent deviennent des adultes ou du moins, en apparence. Et oui, nous ne sommes encore que des gosses dans notre petite tête blonde, je m'en aperçois souvent, mais ne m'en lasse jamais. De toute façon, la réalité du monde extérieur, nous rattrape toujours trop vite, autant en profiter pour se conduire comme des enfants égoïste et capricieux. La vie nous le rendra bien un jour. Je me souviens de la promesse que je lui avais faite, un jour au bord de notre lac. Je lui avais promis de toujours rester à ses côtés, ne jamais l'abandonner. J'avais failli à ma parole. Je me demandais souvent ce qui avait bien pu faire de notre relation si particulière, un enfer. Bien sûr, il y avait eu cette histoire de valeur, de cette divergence de point de vue au niveau des maisons à Poudlard, puis il y avait eu cette histoire avec son père, mes parents qui m'avaient interdit de la revoir, de continuer à être son ami. En y pensant, cet acte d'abandon avait été lâche, surtout injustifié. J'étais rester figé dans mon mutisme, et n'avait rien fait pour l'aider. Pourtant dieu seul savait à quel point ma vie était paisible par rapport à la sienne. Briséis avait toujours été persécuté par ses sœurs, trop gentille pour se défendre comme moi. Pourtant, à présent elle avait changé, elle était devenue colérique, incontrôlable dans ses accès de colère, indomptable dans ses répliques cinglantes. J'avoue que j'avais du mal à m'en passer, ces gigantesques piques, joutes verbales, qui nous caractérisent maintenant. Je crois que c'est peut être parce qu'elle me manque. Son innocence, ses phrases mal tournées que je m'amusais à corriger sans arrêt, sa crainte de me décevoir si elle m'avouait qu'elle avait pleurer et moi qui passait mon temps à jouer au plus fort alors qu'elle m'avait touché au plus profond de mon être. Cette petite fille. Cette petite blonde au cœur si tendre.

Lorsque j'évoquais son cavalier du bal, Briséis sembla se détendre, toute colère semblait avoir disparu de ses traits si tendus en ma présence. Il n'était pas rare que je lui lance 'arrête de froncer les sourcils, tu va être vieille avant l'heure'. Elle me servit un sourire en coin, quelques peu narquois et calculateur. Ou alors je n'arrivais pas à déchiffrer son expression. « James se porte très bien, enfin je veux dire ON se porte très bien, il est tellement attentionné et charmant si tu savait … bref c’est le petit copain parfait quoi ! », déclara t-elle. Ce fut à mon tour de sourire, je savais lorsqu'elle mentait, c'était flagrant du moins pour moi. J'haussais alors les sourcils, un sourire goguenard plaqué sur mon visage. Son nez se trémoussait, comme celui de ma sorcière bien aimée, vous voyez la série préféré de nos chers moldus. Bien qu'un éclair d'un sentiment étrange me traversa la poitrine et se déversa sans doute dans mes yeux, une sorte de brume orageuse, je me mis à rire doucement. Je m'approchais alors de la blondinette, tout doucement, penchant ma tête vers elle, jusqu'à ce que ma bouche soit prés de son oreille. « Ne te rappelle-tu pas que nous étions amis auparavant ? Que je sais très bien lorsque tu mens ? », chuchotais-je, mon souffle effleurant sa joue. Je continuais alors sur ma lancée. « Tu ne sais pas mentir, du moins pas à moi. ». Je retirais alors ma bouche d'à côté de son oreille et lui sourit.
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Briséis M. Ferguson
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyVen 23 Sep - 11:01

Elle savait pertinemment que son mensonge n'allait pas passer inaperçu ou du moins pas pour lui, cependant elle espérait, elle espérait de toute ses forces. De toute façon elle se disait qu'il avait tout oublié d'elle, qu'il ne pensait pas à elle, qu'il restait dans son monde de potentiel macho qui joue au Quidditch avec une bande de fille hystérique qui sont leur admiratrice. Briséis eut un léger hoquement de surprise en sentant Emrys se rapprocher elle fronça les sourcilles avec un air qui se voulait dangereux et qu'on pouvait traduire par " n'approche pas plus ou je vais m'énerver ". Elle n'aimait pas cette proximité avec lui, en réalité une jour elle avait était très proche de lui comme en ce moment, et elle avait perdu tout ses moyens, cependant elle ne comprenait pas cette réaction, elle mettait cela sur le comble d'une semaine fatigante et d'un stress familial. Briséis était crisper et essayer de regarder en face d'elle pour ne pas le regarder dans les yeux car si elle le regarder dans les yeux, elle allait sûrement faire un acte irréfléchie et incontrôlable. C'est alors que sa certitude qui était que Emrys ne la connaissait plus s'envola lorsqu'il émit ces paroles « Ne te rappelle-tu pas que nous étions amis auparavant ? Que je sais très bien lorsque tu mens ? » Son souffle était lent et chaud, il effleurée légèrement sa joue et elle sentit un frissons parcourir son échine et parcourir le long de sa colonne vertébrale, elle dût se faire violence pour ne pas se faire remarquer en fermant les yeux et mordant sa lèvre inférieur. Elle le détestait vraiment. Pour tout les états dans lesquelles il arrivait à la mettre, pour la déstabiliser ainsi, pour la faire passer en tant que faible devant lui. « Tu ne sais pas mentir, du moins pas à moi. ». C'est alors qu'il se décolla un peu d'elle cependant leur épaule se touchait. Elle mit un certains temps pour se remettre de ses émotions, son odeur était toujours rester la même, une odeur de vanille musqué qu'elle aimait tellement. Le souvenir de cette odeur était encrée en elle, elle prenait souvent pendant son enfance des pull qui lui appartenait et s'en servait de doudou pour pouvoir dormir le soir, car comme cela elle sentait sa présence perpétuel et elle n'avait pas peur, elle se sentait protéger comme si rien ne pouvait l'atteindre.


Elle entendis un rire la tiré à la réalité, il venait de comprendre qu'il venait de faire effet sur la jeune blonde, elle détestait quand il avait une avance sur elle, quand il savait qu'il lui faisait perdre la tête, c'était comme un jeux pour lui. Mais Briséis aussi était joueuse, pourquoi cela serait toujours lui qui mène les règles du jeux ? Elle avait envie de s'essayer à ce nouveau jeu qui consiste à voir qui va le plus désarçonnait l’autre. Mais elle, elle n'était pas forte, elle ne connaissait pas tout les vices du charme est était plutôt maladroite. Elle n'arrivait pas à marcher élégamment comme certaine fille, ni à battre des cils, elle ne faisait pas tomber les garçons comme des mouches par un simple regard charmeur. Elle, elle était plutôt du genre à faire tomber ses affaires en marchant, à se prendre une porte car elle est étourdie, à ne pas forcement attirer l'attention sur elle. Briséis décida qu’elle devait faire quelque chose , ne serait ce que pour son amour propre. Elle le regarda longuement d'un regard profond et sérieux, c'est alors qu'elle s’avança et posa sa main sur son épaule pour s’accouder à lui et mit à son tour sa bouche prés de son oreille pour lui dire « Je ne sais peut être pas mentir mais toi non plus, j'ai crûs voir apparaitre de la jalousie dans tes yeux, n'est ce pas ? De plus j'ai bien remarqué que depuis ce fameux bal tu fait la misère à James. » Elle sentit le regard glacial se son homologue, elle se félicitait intérieurement d'avoir réussis à avoir une réaction de sa part, même si elle n'était pas aussi forte que lui à ce jeu, au moins elle réussissait à le faire réagir. Elle voulait encore pousser plus loin son amusement en baladant ses lèvres prés de sa joue comme si elle allait lui faire une bise jusqu'à ce que ... elle se rétracte. Cela semblait drôle en effet, mais elle s'en voulait car elle aussi aurait voulus peut être continué sa joue, elle se disait qu'elle ne devait pas continué dans cette voir, car elle n'était pas une Serpentard, elle n'était pas le genre de fille assez garce pour jouer à ce genre de jeux de séduction. Elle c'était remis à sa place et regarder vaguement l'eau qui flottait devant elle puis son regard revint sur son maillot. Décidément il était vraiment horrible ce maillot, elle devait absolument le changer. Son esprit vagabondait dans tout les sens et elle ne savait pas vraiment quoi pensait de sa vie en général, elle ne regrettait absolument rien dans sa vie. Même si sa famille n'était pas parfaite, cela était le choix du destin, son comportement et le fait qu'elle soit maladroite ne la dérangeait pas, la seule chose qu'elle regrettait plus que tout était Emrys. « Tu me manque Emrys » elle venait de murmurer cette phrase sans en être vraiment consciente. En réalité elle pensait que cette phrase était restait enfermer dans ses pensée jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'elle venait de parler à voix haute, elle devint rouge et était rester figé. Non elle n'avait pas dit ça, ce n'était toute simplement pas possible ! Elle bredouilla quelque chose comme « Il faut que j'y aille !» Elle préférait fuir plutôt que d’affronter ce regard qu'elle chérissait tant.
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyDim 25 Sep - 15:44


Comment en étions-nous arrivé là ? A essayer de se mentir à longueur de temps, se défier, se provoquer sans cesse, sans relâche. Nous en étions arrivé à un point, où ne connaissions plus grand chose de l'autre, de sa vie, son ressenti. Nous ne finissions par nous baser uniquement sur nos souvenirs. Innocents, enfantins et encore dénués de toute hypocrisie. Pendant les épreuves les plus dures de la vie de Briséis, j'avais passé mon temps à fuir. Comme un lâche. Alors que je lui avais promis en la regardant droit dans les yeux que je serais toujours là. A jamais auprès d'elle. J'avais menti. Bien sûr, je ne connaissais pas la composition de l'avenir lorsque j'avais fait cette promesse, mais je n'ai aucune excuse, mis à part celle que je me sers à longueur de temps. Pour faire taire la culpabilité qui me ronge. Je me dis souvent que c'est la faute de mes parents si je ne l'ai pas soutenue alors que toute sa vie, sa famille s'effondrait. Qu'ils m'ont empêchés de faire ce que je devais faire, c'est-à-dire la protéger face aux imbéciles du monde. A présent, je suis inclus dans le lot. Je suis un imbécile. En m'approchant d'elle, pour lui murmurer quelques mots, j'avais entre-aperçu des brides de notre ancienne complicité, lorsque nous pouvions encore nous nous murmurer des confidences sans nous lancer de regards noirs comme Briséis le faisais pendant mon geste. Cependant, elle ne m'avait pas arrêter. Elle s'est contenté de regarder droit devant elle, crispée et irritée par mon attitude. Il sembla que j'étais le seul à pouvoir la déstabiliser ainsi, j'en suis un peu fier, je sais c'est stupide mais c'est ainsi. Je crois que ce qui l'énerve le plus, c'est le fait que je réagisse pas aussi violemment qu'elle. Que je me maitrise et lui parle calmement. Cependant, il ne faut pas croire que l'intérieur est aussi calme de que l'extérieur. Cela vous étonnes n'est-ce pas ? Et bien oui, rien que l'entendre de débiter des choses sur ces soit-disant petits amis, me fait voir rouge. Moi, amoureux ? Ça ne va pas la tête ? Tomber amoureux, c'est pour les crétins. Alors que je m'écarter de ses boucles blondes, mon épaule resta prés d'elle, son parfum m'avait envahit, me rappelant aux après midi au bord du lac. Son odeur délicieuse de miel, douce et sucrée. Voilà ce qu'étais Briséis pour moi avant que notre amitié ne se brise. A présent, elle était aussi piquante et inaccessible qu'un charbon, ou peut être bien une rose.

« Je ne sais peut être pas mentir mais toi non plus, j'ai crûs voir apparaitre de la jalousie dans tes yeux, n'est ce pas ? De plus j'ai bien remarqué que depuis ce fameux bal tu fais la misère à James. », dit-elle. Je me mis à rire pour masquer mon malaise. Cette fille savait donc lire autant en moi que je sais lire en elle ? Je la fixais alors dans les yeux, d'un regard que je voulais glacial, redevenant un imbécile. « Petite puce, ce n'est vraiment pas mon style d'être jaloux. Comment veut-tu que je sois jaloux alors que je peux avoir n'importe quelle fille ? », déclarais-je avec un calme factice. Je lui servis un sourire en coin comme pour appuyer mes propos complétement stupide. Certes, je pouvais bien avoir n'importe quelle fille, mais aucune n'était Briséis. Il était vrai que depuis le bal, je m'en prenais régulièrement à James machin chose. Quelques coups bas par-ci par-là. En potions, généralement, en remplaçant quelques uns de ses ingrédients pendant une préparation, engendrant une déflagration de chaudron particulièrement comique. Dans les couloirs, quelques croches-pieds, des phrases acérées etc. Pas grand chose en somme. Puis, elle commença un petit jeu. Je ne sais pas si c'était un jeu de séduction, de provocation ou autre. Pourtant, elle semblait vouloir me faire réagir. Elle s'approcha de moi, commençant à balader ses lèvres sur ma joue. Ce contact me pétrifia, ma respiration se fit un peu irrégulière. Je me maudis alors de ne pas me contrôler. Puis, elle se rétracta. Nous restâmes immobile et muets pendant quelques instants, perdus dans nos pensées. Puis elle brisa le silence. « Tu me manques, Emrys », murmura t-elle. J'en eus la respiration coupée, comme si j'avais reçu un cognard dans le ventre pendant un match. « Qu … Quoi ? », fut la seule chose que j'arrivais à articuler. Je me serais bien écraser sur une autoroute à cet instant précis. Avant, que je n'ai eu le temps de dire « ouf », elle devint rouge comme une tomate, bredouilla un 'faut que j'y ailles' et sortis de la baignoire. J'inspirais doucement, essayant d'être calme. « BRISEIS ! ATTENDS ! », hurlais-je, alors qu'elle se trouvait à deux mètres de moi. Je m'élançais derrière elle, manquant de m'affaler sur le carrelage mouillé. Je ne fis pas attention à son maillot de bain, et agrippais son poignet, l'obligeant à me faire face. Le contact de sa peau contre la mienne, m'avait manqué. Ma respiration était saccadé, pourquoi provoque t-elle autant de chose en moi ? « Je … Je suis désolé … Tu. Tu me manques aussi. », je n'arrivais pas à croire que je l'avais dit. Tout haut, comme ça, comme dans un film niais de moldus. N'y tenant plus, je lâchais son poignet de la pris dans mes bras quelques instants.
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Briséis M. Ferguson
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptySam 1 Oct - 22:20

« Petite puce, ce n'est vraiment pas mon style d'être jaloux. Comment veut-tu que je sois jaloux alors que je peux avoir n'importe quelle fille ? » C'était totalement vrai. Il pouvait sans doute toute les avoirs et le pire c'est que Briséis était inclus dans le lot. Elle avait pus remarquer au fur et à mesure des années son côté charmeur prendre le dessus sur sa personnalité, il aimait séduire et cela se voyait. Il n'avait pas vraiment besoin de prendre de grand air pour capter l'attention des filles, il dégagé un certain charme qui vous rendez unique, c'était quelque chose d'enivrant et d'irrésistible.

Après avoir débité une piteuse parole marquant son attention de partir Briséis se leva à toute vitesse et se dirigea vers la sortit du bain, non mais quelle idiote elle peut faire parfois ! Lui dire à LUI qu'il Lui manquait c'était prouvé sa faiblesse et la mettre en position de toute sorte de raillerie venant de sa part, surtout qu'elle savait qu'il n'était pas capable de retourner ce genre de parole en son adresse car il était trop fier, elle le savait il préférerait mourir plutôt que de lui avouer ce qu'il ressentait vraiment, quoi que Briséis se demandait ce qu'il pouvait vraiment ressentir envers elle à part un mélange de pitié et d'amusement. Elle entendit la réponse de Emrys, qui devait sûrement être bien plus que surprit « Qu … Quoi ? » Briséis ne se retourna pas, elle n'avait pas envie de l'affronter, on lui reprochait trop souvent de fuir. Fuir c'était vraiment la solution de Briséis quand il s'agissait de ses sentiments, elle ne voulait absolument pas être mis en face de lui. Elle ne voulait pas voir son visage en rire ce qui lui briserait le coeur encore plus.

Il fallait absolument qu'elle parte, vite, très vite. « BRISEIS ! ATTENDS ! » Non,,elle ne pouvait pas et ne voulait surtout pas l'attendre. Sa marche se fit accéléré et elle aller presque atteindre ses vêtements, elle ne pouvait pas se changer devant lui, tant pis elle mettrait ses vêtements sur son maillot mouillé au risque de se chopé un rhume. Hors de question de se sécher en ces conditions, autant prendre la fuite dés maintenant pour ne pas avoir à le regretter, Elle y était presque, mais elle n'avait pas qu'il la suivait et fus surprise quand elle se retrouva dans la seconde en de Emrys. Il était beau, terriblement beau, surtout à ce moment avec ses cheveux en vrac qui lui couvrait le front, avec son regard bleu intense qui pouvait traverser l'âme de Briséis et avec les minuscule gouttes d'eau qui ruisselait sur son torse le rendant encore plus beau, comme si des perles étaient incrusté sur lui. Sa main était tendremen sur le poignet de la jeune fille et elle décida de détourner les yeux, elle ne pouvait pas le voir, pas d'aussi prés, pas après ce qu'elle venait de dire. Elle allait sûrement pleurer dans la minute, l'idée de fuir et de se débattre lui avait traverser l'esprit mais elle était comme tétanisé face à ce contact et face au regard insistant du jeune homme. « Je … Je suis désolé … Tu. Tu me manques aussi. » BAM. Comme un électrochoc dans le coeur et dans le corps. Briséis n'arrivait absolument plus à bouger ni même à respirer, elle avait rêver ou non ? Était-il possible qu'il vienne d'avouer ce qu'elle venait d'entendre, c'était tout simplement impossible. Avoir avouer qu'il était désolé - ce qu'il ne faisait jamais, jamais il ne s'excuser- et surtout avoir avouer que la blondinette lui manquait. Elle aurait voulut lui demandait de répéter pour voir si elle n'était vraiment pas folle, mais le geste qui suivis confirma les paroles. Ils étaient maintenant l'un dans les bras de l'autre, c'était quelque chose de fussionel, de beau et d'intime. Ce n'était pas cliché ou autres, cela ressemblait à deux enfants qui c'étaient perdu pendant très longtemps et qui c'était retrouver. A ce moment Briséis ne pensait plus ni à sa rancoeur ni à l'opinion des gens, elle était simplement bien, chose qui n'était plus depuis un certain nombres d'années. Les bras de Emrys l'entourait chaleureusement une sur l'épaule et l'autre posée sur sa taille, pendant que Briséis avait posée ses mains sur son torse. Elle sentait la chaleur de son corps sur le siens et cela la réchauffer, son odeur l'enivrait complètement. A ce moment précis le monde pouvait bien s'écroulait qu'elle n'aurait sûrement pas bouger. Elle avait posé sa tête sur lui et fermer les yeux, elle se sentait en sécurité, elle avait le même sentiment que quand on se sent vraiment chez soi, comme si il était sa maison, sa vie. Elle ne sait pas vraiment combien de temps cela dura, mais cela devait avoir durée un temps considérable. Au bout d'un certains moment en proféra ces paroles pour alléger l'ambiance " Au faite tu a raison, tout à l'heure j'ai mentis par rapport à James" un léger sourire tendre s'affichait sur ses lèvres, elle était toujours dans les bras de Emrys. Elle ne savait pas si elle serait capable de s'en détaché, cependant elle leva sa tête et leur visage se trouver assez proche. Elle savait pertinemment qu'elle ne pouvait pas être avec lui et la cruauté de la réalité revenait vers elle. Elle savait que les paroles qu'elle allait dire elle allait les regretter mais sa conscience était trop forte pour faire taire ces paroles " Écoute Emrys, Nous ne pourrons jamais être comme avant, j'ai l'impression que le destin ne le veux pas et que cela ne sert à rien d'essayer. Sache que ce n'est pas essentiellement à cause de ce qui c'est passer avec ma famille, mais aussi car je ne veux pas que tu t'éloigne de la tienne. Je sais ce que sait que d'être séparer de ta famille et je sais que si tu me choisis moi, tu va perdre ta famille et ton statut et cela je ne pourrait pas le supporter. j'ai pas envie que tu perde tout pour une simple .... amitié. Cependant il faut que tu sache que je t'a....." Le mot était rester bloqué dans sa gorge et elle pouvait voir que Emrys était en attente de ce fameux mots si horrible à prononcer, elle ne pouvait simplement pas le dire et c'est en fermant ses yeux des larmes jaillissant de ses yeux qu'elle finit par dire
" que je t'a ... apprécie. Je t'apprécie vraiment"
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyDim 2 Oct - 16:02


Il était vrai que depuis que j'étais entré à Poudlard, j'avais découvert l'art de la séduction. Chez les serpentards, c'est un peu une tradition. Il n'y a pas vraiment de couple qui tiennent la route, ou alors des couples libertins. Bref, un de mes condisciples de ma maison, m'a « enseigné » cet art. Un peu comme pour passer le flambeau car lui, était en dernière année. Il m'avait déclaré que j'avais du potentiel, que j'arrivais à attirer l'attention des filles sans faire plus d'effort que cela. C'est ainsi que j'ai commencé lentement, mais sûrement à séduire. Comme un jeu. La vie n'est qu'un jeu, une farce qui ne cesse de faire volte-face. J'ai franchi le pas. Un nombre incalculable de fois. Pourtant, ce n'est qu'une sorte de divertissement pour moi. Point. Rien de bien important, du moins, on ne m'a jamais dit que c'était important. A chaque fois, qu'une jeune femme partage mon lit, je n'ai qu'une envie. Lui demander de plier bagage et de débarrasser le plancher. Peut être parce que Briséis ne dors pas très loin, ou bien parce que l'image de celle-ci au bord de notre point de rendez-vous enfantin ne cessait de me revenir en plein visage. Ou alors parce que je ne supporte pas cette présence à mes côtes ? Risible, n'est-ce pas ? C'est ainsi.

Alors qu'elle tentait de m'échapper, je l'avais rattraper par le poignet. J'avais peut être mis du temps à réagir, tellement sonné par cette révélation. Mais lorsque je sentis sa peau contre la mienne … ce contact m'électrisa, jusqu'à la racine de ma chevelure blonde. Je ne fis même pas attention, à son maillot de bain immonde ni même aux larmes qui emplissaient ses yeux. Je voyais seulement sa peau fine et douce, ses yeux inquisiteurs, ses cheveux blonds plaquaient contre ses épaules et son dos … Elle était devenue une belle jeune femme, il fallait l'avouer. Comme un crétin, j'ai laisser échapper ma faiblesse, lui avouant qu'elle me manquait aussi. Pour masquer mon malaise, je la saisis dans mes bras. Ma joue contre sa tempe, un bras autour de ses épaules, l'autre emprisonnant sa taille. Ses mains sur mon torse, son souffle contre mon cou, tout ces éléments me firent frissonner. Ce contact m'avait aussi manquer. Enormément. « Au faite tu a raison, tout à l'heure j'ai mentis par rapport à James . », dit-elle, d'un ton léger. J'eus un sourire.« Et Sam, n'est qu'une fille parmi tant d'autres. », déclarais-je, doucement. Inspirant son odeur. Je ne voulais pas briser cette étreinte. Je serais bien rester des années ainsi, pourtant la jolie blondinette décida de prendre en mains la situation. Elle leva la tête et me fixa dans les yeux, son visage prés du mien. Je crus pendant un instant qu'elle voulait m'embrasser, mais devant son air déterminé, je sus que non. « Écoute Emrys, Nous ne pourrons jamais être comme avant, j'ai l'impression que le destin ne le veux pas et que cela ne sert à rien d'essayer. Sache que ce n'est pas essentiellement à cause de ce qui c'est passer avec ma famille, mais aussi car je ne veux pas que tu t'éloigne de la tienne. Je sais ce que sait que d'être séparer de ta famille et je sais que si tu me choisis moi, tu va perdre ta famille et ton statut et cela je ne pourrait pas le supporter. j'ai pas envie que tu perde tout pour une simple .... amitié. Cependant il faut que tu sache que je t'a... », souffla t-elle. Brisant ainsi le silence. Encore un cognard dans l'estomac. Cependant, depuis des années maintenant, je m'attelais à martyrisé Briséis le plus possible. Dès que l'occasion se présentait. Chaque cours, chaque fois que l'on se croisait, il valait mieux pour les personnes qui nous entoures de prendre leurs jambes à leurs cou. Peut être étais-ce parce qu'elle me manquait ? Ou bien parce que je jalousais tous ses amis qui passaient chaque jours, chaque heures, chaque minutes avec elle ? Bien évidemment, ma raison et ma famille, me rappelait bien souvent à l'ordre. Cette déclaration n'aurait pas dû me déstabilisée. Pourtant, je sursautais quelques peu comme si j'avais reçu une décharge, je me décollais un peu de Briséis, la fixant dans les yeux, fronçant les sourcils. Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime … Dis-le ! « que je t'a ... apprécie. Je t'apprécie vraiment.», continua t-elle, avant de se taire. Je pinçais les lèvres. J'eus un rire glacial. « Et moi qui croyait que nous venions enterrer la hache de guerre! Quel crétin, je fais! Une simple amitié ? SIMPLE ? Tu te moques de moi ? Qui était là quand tu avais peur ? Quand tes sœurs te martyrisé ? Pour moi, ce n'était pas une simple amitié. Avoir à choisir entre toi et ma famille, ça a été cruel. Je te l'ai dit tu me manques, espèce d'idiote! Qu'est ce que tu ne comprends pas dans 'tu me manques' ? Qui se bat avec moi pour des choses futiles ? Que me remets dans le droit chemin ? Qui se moque de moi quand je fais des trucs stupides ? Qui change ma personnalité quand elle est prés de moi ? C'est TOI! Uniquement TOI! », déclarais-je furieusement. Je rompais complétement le contact et alla chercher mes affaires à grandes enjambées. Puis je commençais à me diriger vers la porte, cachant les larmes qui montaient à mes yeux.
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Briséis M. Ferguson
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyMer 5 Oct - 11:05

Après avoir dit ces paroles Briséis s'attendait à toute les réactions sauf à celle là, mais elle avait oublier que c'était Emrys et Emrys n'est pas tout le monde. Il avait échappait un rire glacial, un mélange odieux de colère et de déception. Il c'était détacher d'elle et son regard c'était durcit, il était redevenue le garçon qu'elle ne reconnaissait pas, qui était d'humeur changeante et sujet à la colère.« Et moi qui croyait que nous venions enterrer la hache de guerre! Quel crétin, je fais! Une simple amitié ? SIMPLE ? Tu te moques de moi ? Qui était là quand tu avais peur ? Quand tes sœurs te martyrisé ? Pour moi, ce n'était pas une simple amitié. Avoir à choisir entre toi et ma famille, ça a été cruel. Je te l'ai dit tu me manques, espèce d'idiote! Qu'est ce que tu ne comprends pas dans 'tu me manques' ? Qui se bat avec moi pour des choses futiles ? Que me remets dans le droit chemin ? Qui se moque de moi quand je fais des trucs stupides ? Qui change ma personnalité quand elle est prés de moi ? C'est TOI! Uniquement TOI! » Toute c'est question résonnait dans sa tête et la frappait à l'intérieur de son être. En réalité Briséis avait tendance à réagir aussi à l'extrême et ne prenait que la mauvaise partie du dialogue pour pouvoir riposter. Elle prenait tout pour un reproche et réagissait au quart de tour. C'est pour cela que Briséis ne prit même pas la peine de voir le bon côté de ce qu'avait dit Emrys et qu'elle se reprit en essuyant rageusement ses larmes en le regardant s'en aller. " Non mais tu te prend pour quoi ? Ne fait pas l'innocent et ne te fait pas passer pour la victime dans l'histoire ! Tu a raison, je suis idiote, j'aurais jamais dû me dire que tu avait changer. Tout compte fait oublie ce que je viens de te dire : tu ne me manque pas du tout. Je te déteste." Oui ce qu'elle venait de dire était quelque chose d'horrible et sa réaction était incompréhensible, tout ce qu'elle venait de débitait comme connerie aller se retourner contre elle, elle le savait. Elle ne savait pas pourquoi elle s'énerver comme cela mais en même temps les deux jeune gens étaient tout deux d'un tempérament de feu et un rien les met hors d'eux .

Elle avait vu que Emrys s'était arrêter pendant qu'elle avait dit ce qu'elle avait à dire mais que par la suite il était partie. C'était pire que tout. Elle aurait sûrement préférée qu'il lui balance une réplique horrible plutôt qu'il la laisse comme cela, avec une sorte de culpabilité. Elle avait peut être était aller trop loin, mais une part d'elle lui disait qu'elle avait bien faire, qu'elle était stupide de lui avoir avouer qu'il lui manquait et qu'il valait mieux pour elle qu'elle soit seule que mal accompagner. Elle se réconforta dans cette idée qui n'était que pure illusion et se hâta d'enfiler ses vêtements. Ses cheveux était tremper et elle avait lancer un sort pour les sécher. Après s'être complètement habiller elle sortit de la salle de bain des préfets pour se diriger dans sa chambre. Sur le passage il y avait des couples en train de se lancer des répliques amoureuse, c'était dégoûtant. Écoeurant, tout à fait ignoble. Elle pressas le pas pour rentrer dans le dortoir. Il n'était pas là, ce qui l'a surprit. La porte de sa chambre était ouverte et aucune trace de lui n'était présente pour supposer qu'il soit rentrée. C'est alors qu'elle rentra dans sa chambre, pris une douche pour se changer les idée et se mit dans son pyjama très enfantin. Elle n'avait pas envie de manger, elle n'avait pas envie de boire. Avant d'aller se coucher elle prit le collier que Emrys lui avait offert et le mis à son cou. C'était comme si il était avec elle, sans être vraiment avec elle. Elle s'allongea sur son lit, le sommeil commencer à venir. C'était un dimanche pluvieux et Briséis Ferguson était en train de dormir en serrant dans ses mains un pendentif.
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Briséis M. Ferguson
Briséis M. Ferguson
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MessageSujet: Re: The past never die ♣ EMRYS   The past never die ♣ EMRYS EmptyMar 11 Oct - 9:46

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