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BIENVENUE SUR AMORTENCIA Invité ! ҩ La deuxième intrigue va bientôt arriver! ҩ Veuillez privilégier les maisons POUFSOUFFLE et GRYFFONDOR!!! Si possible et si cela n'est pas nécessaire, évitez les maisons Serpentard et Serdaigle ainsi que le statut de "sang pur"
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 J&T ◮ I'M STILL TRYING TO FIGURE OUT HOW THAT COULD BE.

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AuteurMessage
G. Téonard Rosier
G. Téonard Rosier
GRYFFINDOR ҩ I think my spine exploded but i'm fine.

ϟ inscription : 03/09/2011
ϟ hiboux : 110
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MessageSujet: J&T ◮ I'M STILL TRYING TO FIGURE OUT HOW THAT COULD BE.   J&T ◮ I'M STILL TRYING TO FIGURE OUT HOW THAT COULD BE. EmptyMar 1 Nov - 19:49

JAYMES featuring TÉONARD


Il faut qu'on parle. Trop cliché. J'ai besoin de te voir. Trop sincère. Va à la Cabane hurlante à. Trop mystérieux. Bouge tes fesses jusqu'à la Cabane Hurlante quand t'as fini tes cours. Me fais pas attendre. - T. C'était déjà mieux.. et encore. Finalement, après avoir accroché le mot à la patte d'un hibou digne de confiance, je me suis affalé sur mon petit-déjeuner sous le regard affligé de Nolhan, qui a fait mine de ne rien dire. Mon dieu. J'étais une vraie loque. J'avais réussi à ingurgiter rien qu'une petit centilitre de jus de citrouille et, maintenant, j'avais plus faim pour la journée sûrement. C'était comme ça, en ce moment. J'avais l'impression que tout changeait, trop vite. Je me suis redressé avec précaution pour essayer de guetter la table des Serpentards qui, bien évidemment, était de l'autre côté de la Grande Salle. J'ai croisé le regard de Drozdov dont je me suis détourné avec une angoisse grandissante. Une vision et j'allais à l'infirmerie. J'ai attendu un petit moment, les prunelles rivées vers ma coupe de boisson. Rien. J'ai soupiré de soulagement, avant de chercher Jaymes du regard.. qui quittait la Grande Salle. J'espère qu'elle a reçu mon hibou. Car il lui était destiné. J'aurais pu lui en envoyer mille, un million, un milliard. Mais juste ces quelques mots avaient fait l'affaire.

J'avais pas réussi à faire plus. J'étais pas un poète. J'étais pas un grand romantique; ou que dans le cœur. Rien que ça. Avec désespoir, j'ai observée la brunette quitter la salle, sous mon regard tout à fait nonchalant. « Tu regardes quoi ? » J'ai tourné les yeux vers ce maudit Clyde qui, dès le matin, s'empiffrait de viande. Okay, c'était des saucisses; mais sur le moment, ça m'a donné envie de vomir. « Ça t'regarde ? » j'ai répondu d'un ton sec et il a haussé les épaules. Aujourd'hui, c'était dimanche. Aujourd'hui, c'était la seule journée où j'étais tranquille depuis.. et bien, depuis un mois. Tous les week-end, ou presque, j'avais à faire des devoirs, des dissertations, des travaux pratiques, des trucs tout à fait horribles et incompréhensibles; et, truc de malade, j'avais pas eu une seconde à moi. A croire que les professeurs s'étaient faits passer le mot : « vite, faut faire chier Rosier pour pas qu'il puisse voir Jaymes ! » J'avais envie de la voir. J'avais besoin de la voir. Fallait mettre les points sur les i, les barres sur les t; c'est important, ça, non ? C'était important pour moi. Je l'observais toujours à la dérobée, aidé par des coups d'œil en coin, des airs tout à fait indifférents. Et quand je la croisais dans les couloirs, j'arrivais pas à la regarder. Je faisais mine de sortir une blague à quelqu'un; mine de m'intéresser aux tableaux qui trouvaient toujours un sujet pour papoter. Ok, ça faisait pitié. Mais l'indifférence.. l'indifférence, c'est le contraire de l'amour. Et je ne ressentais aucun amour pour Jaymes. J'avais pas le droit. C'est pile le genre de truc qui est pas normal. Pas le droit, pas le droit.. oh, and fuck it, je suis un sorcier.

C'était sur cette pensée que je m'étais levé ce matin, sautant littéralement de ma couche pour entrer dans mes chaussures. Et sur cette pensée que j'avais envoyé le hibou, sur cette pensée que j'avais attendu comme un débile toute la journée. Tellement excité que j'avais même pas pu dormir en cours d'histoire ! Vous imaginez deux secondes ? C'était innommable. J'ai regretté un millier de fois d'avoir commis ce.. ce crime sur un coup de tête. Et mille et une fois, je m'étais dit que ça valait le coup. Après tout, si je le faisais pas, qui le ferai ? Qui rendrai ma vie plus.. excitante ? Il y avait bien que Jaymes pour le faire. Toujours avec son sourire craquant, sa moue adorable, ses cheveux parfaits, ses yeux envoûtants, sa silhouette svelte tout à fait mignonne, son odeur enivrante et toutes ses qualités si.. enfin voilà quoi. C'est à force de m'énoncer tout ça que je suis là, sur le lit de la Cabane Hurlante, à l'attendre. Je parie trois mille Gallions qu'elle viendra pas. Toutefois, je lui laisse le bénéfice du doute. C'est pour ça que c'est un pari avec ma conscience; car je sais que Jaymes est un peu fofolle et qu'elle serait capable de se ramener. Mais en même temps, elle doit penser que c'est qu'un obsédé qui veut la baiser qui lui a laissé ce mot. En même temps, la Cabane Hurlante, c'est pas sexy. Enfin, les gens sont tellement bizarres.. le plancher craque, à l'étage d'en dessous. Et je sursaute comme un taré, en me plaquant les cheveux sur le crâne comme toujours. Dieu, si Dieu t'existes, s'teu plaît, fais que ce soit elle.

Spoiler:
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Jaymes E. Hexington
Jaymes E. Hexington
SLYTHERIN ҩ It's kind of fun to do the impossible.

ϟ inscription : 28/08/2011
ϟ hiboux : 103
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MessageSujet: Re: J&T ◮ I'M STILL TRYING TO FIGURE OUT HOW THAT COULD BE.   J&T ◮ I'M STILL TRYING TO FIGURE OUT HOW THAT COULD BE. EmptyVen 4 Nov - 21:58


JAYMESfeatTÉONARD

this is going to bring me close to you.


Dimanche. La journée s'annonçait plutôt monotone. Il ne pleuvait pas mais tout était humide et il faisait frais, normal pour une journée d'automne après tout. Malgré l'heure un peu avancée, je restais assise à la table des verts et argent, prenant le temps de prendre correctement mon petit déjeuner ce qui n'était pas arrivé depuis des lustres. Oui, car souvent je n'étais jamais assez réveillée le matin pour pouvoir avaler quoi que ce soit. Mes camarades se levèrent, ayant déjà fini, elles prévoyaient sûrement d'aller rendre visite à leur petit ami. Seulement, moi j'en avais pas. « Hexington, t'es un vrai estomac sur pattes, c'est pas possible. Dépêche on a pas quinze ans. On a des tonnes et des tonnes de trucs à faire après. Donc merci de ne pas nous retarder. » J'avalais rapidement la bouchée de pain dans ma bouche. « Allez-y, je finis et je vous rejoindrais au dortoir, vous n'avez pas besoin de moi en quoi que ce soit je pense. » Les deux filles secouèrent leurs cheveux en pivotant tandis que j'avalais un autre verre de jus d'orange. J'étais une vraie gloutonne le matin, mais bon...souvent je mangeais plus le matin que dans tous les autres repas, j'avalais parfois plus ce qu'il ne fallait pour une matinée, ce qui faisait que j'arrivais souvent à tenir jusqu'au soir où là, je faisais attention car quand je mangeais trop je n'arrivais pas à dormir. Alors que je rêvassais, les coudes sur la tables et la tête entre les mains, je ne fis pas attention à l'expéditeur du hibou qui arriva droit sur moi...et qui tenais une lettre accrochée à sa patte. Je caressais doucement la tête de l'oiseau aux yeux ronds faute d'avoir quelconque monnaie ou nourriture à lui offrir. Je l'abandonnais pour essayer de déplier le petit mot, je posais mes yeux sur le morceau de papier et parcourut les courbes des lettres écrites. Je n'avais pas vraiment idée de qui pouvait m'envoyer une pareille lettre, je n'avais aucune idée de l'identité de celui qui avait écrit ce mot car pour toute signature, il y avait un « T. ». Je crus reconnaître l'écriture de Téonard Rosier, mais rien n'était sûr. Il y avait sûrement beaucoup de personnes avec un prénom ou un nom en T. En tous cas, je me rendrais sûrement à la Cabane Hurlante, comme indiqué sur le papier, juste pour avoir quelque chose à faire de mon dimanche. Je me levais de la table, serrais le mot dans mes mains et rejoignis les cachots.

J'arrivais dans mon dortoir et j'en profitais pour brosser mes cheveux. Ils étaient un peu emmêlés et vu le temps que je prenais tous les matins pour les lisser, je pensais sérieusement à bientôt me faire couper les cheveux. Malheureusement, je recroisais mes camarades, en train de bavarder joyeusement tout en se pomponnant. « Jaymes, ça te dit une virée à Pré-au-Lard cet après-midi ? » Je vis trois paires d'yeux se braquer sur moi tandis que je me demandais quelle question saugrenues elles avaient encore pu me poser. Secouant la tête de gauche à droite, je m'excusais poliment de ne pas pouvoir être de la partie. « Désolée mais j'ai beaucoup de devoirs en retard et je comptais me mettre dessus aujourd'hui. » Elles se remirent à leurs occupations, l'air pas très convaincu. « Je suis sûre que tu nous cache quelque chose, un petit ami ? » Je fis non de la tête. « Je n'ai aucun secret. » « Quoi qu'il en soit, on s'était promis aucun secret, alors tu n'oserais pas nous cacher quelque chose n'est-ce pas ? » Je faillis vomir mon petit-déjeuner à cause du sourire hypocrite qu'on me lança mais je ne répondis rien à cette question, préférant prendre un air indifférent et hausser les épaules. Je retrouvais mon bureau et essayait de faire sembler de me mettre au travail. C'était ennuyeux. Je ne suivais pas vraiment les cours ces temps-ci, devant quand même rendre mes devoirs, rédiger mes parchemins et m'exercer un peu sur les différents sorts vus en classe. Je lisais, n'importe quel livre, peu importe ce que j'avais sous la main. Je me terrais dans un coin et j'essayais de m'évader avec seulement un livre à la main. Souvent c'était quand je n'avais pas vu une personne qui m'était chère depuis un long moment et il se trouvait que cette fois-ci, c'était Téo. Il y avait très longtemps que je ne l'avais pas. Bien sûr, je le croisais assez souvent (d'accord, très souvent, est-ce un pur hasard?) le rouge et or dans les couloirs mais je l'avais toujours ignoré. Parce que c'était de un, un gryffondor. Et de deux...Je n'avais pas forcément envie ou besoin de lui parler. Enfin si...Un peu quand même, surtout que sa présence réussissait toujours à m'apaiser quoi que je fasse. En repensant au brun, je me mis à farfouiller dans mes feuilles et cherchais un dessin que j'avais fait moi même. C'était une esquisse du portrait de Téonard que j'avais un jour dessiner en cours d'histoire de la magie. Ça m'était venu comme ça. Ce n'était pas du grand art mais il fallait que c'était assez ressemblant...de loin. On retrouvait les yeux rieurs, les cheveux en bataille, le sourire en coin, toutes des caractéristiques propre au jeune homme et que j'avais remarqué au cours de nos après-midis. Je pliais ma feuille et la glissais dans ma poche, me promettant de la donner au sorcier si jamais je le croisais...ou pas.

Je tendis l'oreille pour essayer d'entendre si les bécasses étaient encore là, et il me semblait que non. Alors je remettais de l'ordre sur mon bureau, et partais rejoindre l'inconnu de la Cabane Hurlante. Le mystérieux « T. ». Plus je progressais dans les couloirs plus la possibilité que ce soit me paraissait probable. Après tout, ça lui ressemblait de m'écrire un truc aussi incompréhensible. Mais je n'étais pas sûre non plus. Une farce ? Un sale pervers ? Ou peut-être que j'allais ramener ma fraise alors que la lettre ne m'était même pas adressée...Bon je priais pour que ce soit Téonard et non une mauvaise surprise, car Dieu seul savait combien je mourrais d'envie d'aller rendre visite au gryffondor. A chaque fois il se trouvait avec une bande de copains et venir l'inviter à faire quelque chose devant ses amis était un truc complètement suicidaire à mes yeux. Si cela n'avait pas été Téonard Gavin Rosier. Dix-neuf ans. De la maison gryffondor. Why not ? Sauf que là, c'était bel et bien lui. La version en chair et en os, de mon vieux gribouillage tout pourri. J'étais transportée par le flot de personnes dans les couloirs et j'arrivais presque à me perdre dans cet océan de personne tellement dans ma tête aussi c'était le bazar. Je repensais à notre dernière escapade. On devait aussi se rendre à la Cabane Hurlante, si il ne m'avait pas laissée dans le parc de Poudlard comme une bête. Je ne savais pas trop ce qu'il s'était passé pour qu'il s'en aille comme ça. Quelqu'un l'avait appelé je crois, il a recouru vers moi et m'a juste embrassé la joue avant de partir. Sans penser qu'il laissait quelqu'un complètement perdu derrière lui. Parce que la nuit qui suivit fut vraiment très longue, blanche et ennuyeuse. Je me posais des questions. Je m'en voulais de m'être attache à lui comme ça. J'avais pas le droit. Le jeu l'interdisait formellement. Ah, le jeu... Le truc le plus stupide que j'ai fait jusque là sûrement. Bon d'accord c'était drôle au début, mais ça prenait une tournure qui me faisait de plus en plus peur. Je perdais contrôle de ma tête, de mon corps, je n'avais plus rien en main. C'était pas affolant ça ? C'était un peu de la manipulation, bien sûr, de la manipulation gentille et amusante. Mais, c'était ça. Il ne fallait pas montrer ses sentiments. Juste les sous-entendre. Il ne fallait pas dévoiler ses émotions mais c'était dur pour moi. Et puis Téo qui ne faisait rien pour arranger ça. Ça devait sûrement l'amuser de me voir mouliner dans le pâté et de se dire qu'il allait gagner, que ce n'était plus qu'une question de temps. Mais il ne s'en sortira pas comme ça. Hors de question de faiblir. Sinon le jeu ne serait plus intéressant, pas vrai ?

J'entrais dans la vieille mansarde qu'était la Cabane Hurlante. Une maison hantée à ce qu'on disait. Hantée peut-être, mais maison ? Oui...Sûrement il y a cent soixante ans. Celui qui m'avait donné rendez-vous là avait vraiment des idées tordues. Je refermai la porte derrière moi et déjà je me questionnais pour savoir si j'avais bien fait de venir ou pas. Qui sait ce qui m'attendait à l'étage. Mais j'étais vraiment trop curieuse, c'est sûrement pour ça que j'étais presque déjà dans l'escalier qui craquait sous chacun de mes pas. Je n'étais pas certaine que tout cela soit très solide, mais je ne me posais pas plus de question que cela. L'effet de surprise était vraiment gâché par tous les craquements qui parvenaient à mes oreilles et qui pouvait réveiller n'importe qui. Je fis quelques pas en avant, en essayant de ne pas trop faire de bruit. Quelqu'un était allongé sur le lit, plus très neuf de la pièce. Et je reconnus sans peine ce cher Téo. Je m'approchais de lui. Il était allongé sur les vieux draps, qui ressemblaient plus à des serpillères qu'autres choses. On aurait pu le prendre pour mort. J'approchais mon visage du sien. La situation me rappelait un peu « la belle au bois dormant », un conte moldu, dans lequel une princesse dormait cent ans, en attendant le baiser du prince charmant. Sauf que dans la version sorcière, les rôles étaient inversés...c'est ça ? C'est vrai que c'était tentant de poser mes lèvres sur les siennes histoire de le secouer un peu mais au lieu de ça mais en y réfléchissant bien, cela aurait été louche de ma part. J'étais opposée à un horrible dilemme. « Il m'en voudra pas de lui voler un petit baiser... » Je fermais les yeux et déposais un petit baiser sur ses lèvres avant de m'écarter. Je fis mine de rien, en inspectant un peu les lieux. Tout était un peu poussiéreux, ça faisait longtemps que je n'étais pas venue et y revenir avec Téonard n'était sûrement pas plus mal. « C'était pas le lieu le plus romantique, mais bon...on fera avec ce qu'on a. » J'haussais les épaules avec un petit sourire sur les lèvres. « Je m'en doutais que c'était toi. Faut vraiment être farfelu pour donner rendez-vous à quelqu'un ici. » Avec un air détaché, j'enchaînais. « Ça fait longtemps que tu m'attends ? Enfin...Si c'est moi que t'attendais. » J'accompagnais ma phrase d'un petit sourire innocent tout en faisant le tour de la pièce, en attendant les réponses du rouge et or.

1800 mots.


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